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Apolline Rougole
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Apolline Rougole ─ Mar 31 Juil - 22:32
Anonymous
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    Apolline Rougole


    “La fin n'est souvent que le commencement”



    25 ans
    Originaire de Duché de la croix des Espines
    Allégeance : Du duché de Nera, comté du même nom
    Statut social : Religieuse
    Son métier : Prêtresse


    Caractère




    Apolline est une jeune femme plutôt discrète, qui n’aime pas être remarquée. Si dans un premier temps, ce trait n’était pas le plus prédominant de son caractère, avec les années et les événements il a fini par prendre le dessus et devenir sa caractéristique principale. En dehors des cérémonies et de son temps exercé en tant que prêtresse, elle n’aime guère être le centre d’intérêt, n’apprécie pas qu’on s’intéresse plus que de raison à elle et se sent très rapidement gênée d’une quelconque curiosité à son égard. Cela ne l’empêche pas d’être une femme plutôt ouverte au dialogue, qui apprécie débattre, parlementer de tout et rien. Attentive, elle a toujours eu cette tendance à faire passer les autres avant sa propre personne et si dans son esprit, il s’agit de sa principale qualité, pour les autres, il s’agit bien de son plus grand défaut. Bourreau de travail, elle peut passer des heures et des heures à écouter, conseiller ou prendre soin, il ne lui semble pas avoir connu plus agréable activité que celle d’être l’oreille attentive de bon nombre de fidèles. La jeune femme est même convaincue d’être privilégiée d’être ainsi devenue une confidente de certains individus. Naïve, elle n’a pas forcement conscience que la manipulation est un art que certain manie à la perfection, elle croit en la bonté en chaque personne, ce qui l’empêche parfois de percevoir le danger pouvant émerger parfois juste sous son nez. N’est-elle pas pour autant démunie de toute forme d’intelligence, parfaitement capable de se faire violence afin de changer quelques mauvaises habitudes.  Si par son passé, elle n’a jamais démontré une quelconque forme de fragilité, la perte de son époux et de son enfant semble avoir ouvert une cicatrice bien profonde, qu’elle ne parvient pas à refermer, dévoilant ainsi une sensibilité qu’elle ne se connaissait pas. Actuellement, elle semble être dans une grande phase de remise en question se traduisant par des moments de doutes, mais aussi d’affirmation plutôt prononcée qu’elle ne se serait jamais permise avant. Le « non » s’ajoutant parfois maladroitement à son langage.


    Physique



     Difficile de détailler une jeune femme qui se décrit elle-même, comme une personne tout à fait commune. De taille dans la moyenne, quoi que peut-être un peu petite, elle frôle de justesse le mètre cinquante-huit, elle ne cherche que rarement a se grandir et reste souvent dans des souliers parfaitement plats. Percevant sa petite taille comme un atout et non une contrainte. Sa silhouette est féminine sans arborer des courbes particulières aguichantes, sa taille est plus fine que ses épaules et ses hanches, mais rarement mise en valeur, camouflée par des vêtements plus larges que nécessaire, qu’elle porte la plupart du temps. Vous l’aurez compris, Apolline ne cherche pas à se mettre en valeur, préférant se fondre dans la masse et attirer le moindre de regard possible. Elle n’en reste pas moins une femme avec un charme naturel qui peut plaire, comme déplaire, tout n’étant après tout qu’une question de goût et de point de vue. Son visage est plutôt fin, recouvert par endroit de petites taches de rousseur, ses lèvres sont fines et s’étirent régulièrement dans un sourire dont il est difficile d’identifier la source, simple acte de politesse, image, ou signe de sincérité, le mystère reste entier. Son nez va avec le reste, ne cassant pas l’harmonie de ses traits, s’alignant dans une finesse toute respectée. Son regard est un véritable miroir de son être intérieur, particulièrement expressif il n’est pas rare de voir ses deux perles grises pétiller ou se troubler, juste au-dessus de ses yeux se trouvent des sourcils pas très larges, d’un brun de la même couleur que sa chevelure.  Ses cheveux, parlons-en, seul chose qu’elle apprécie réellement, qu’elle entretien, brosse sans relâche, d’un brun plutôt sombre, ponctué parfois de quelques reflets plus clairs, ils lui arrivent au milieu du dos. Il est cependant rare de voir ses cheveux non attachés. Si d’un point de vue purement personnel, Apolline estime est une jeune femme commune, il en va de même généralement pour les regards extérieurs. Non pas sans charme, elle a évidemment comme tout a chacun quelques spécificités, si sa corpulence est fine son ventre reste marquée par une première grossesse, quelques rondeurs harmonieuses persistent encore et quelques marques se laissent voir sur sa peau clair un peu malmené par la prise de poids, puis neuf mois après la perte. Une cicatrice d’enfance persiste sur son genou gauche, petite marque blanchâtre d’un souvenir d’une chute dans un rosier.  



    Histoire



    L’histoire d’Apolline commence l’année 1224, le 2 septembre exactement. Le premier bruit perçu par le nouveau-né fut celui d’un cri, autre que le sien, celui de son frère sorti en premier, aîné de ce duo un peu particulier. Faux jumeaux, naissance peu commune, un peu redoutée par les parents qui s’apprêtent à connaître la joie de cet accouchement bien spécifique. Chanceux, aucun ne perdit la vie, ni la mère, ni les nourrissons qui semblaient même se porter à merveille. Ces deux nouvelles petites têtes s’ajoutèrent et s’intégrèrent rapidement à la famille, terminant ainsi la jolie petite fratrie. Un frère aîné de trois ans de plus, un autre frère avec qui elle avait vécu durant neuf mois déjà et puis elle, petite dernière de cet étrange trio, de cette étrange petite bulle d’insouciance que formait l’ensemble. Hugo de ses trois ans déjà semblait ravi de cet arrivage significatif qui allait pourtant bien chambouler son quotidien, puisque fallait-il bien l’avouer deux bébés ça fait du bruit, ça cris, ça pleure et ça attirent l’attention. Loin d’être jaloux, l’enfant se comporta comme un grand frère parfait accompagné de sa mère et de son père. Les trois bambins évoluèrent au sein du duché de la croix des espines, au milieu du petit terrain de leur père, là où se trouvait des hautes herbes luxuriantes, mais aussi, et surtout son élevage de bovin. Toute petite déjà, la jeune enfant était destinée à son futur métier, troisièmes enfants, féminin d’autant plus, les parents avaient décidé dès les premiers mois d’envoyer ce petit être à l’île de nacre pour qu’elle soit formée en tant que prêtresse dès son dixième anniversaire. Ce qui laissait encore quelques années de bonheurs et de fusion pour la famille. Si le bonheur était maître des lieux, il fut néanmoins quelque peu tourmenté l’année 1229 par un événement du duché. Trop petit pour percevoir réellement l’impact Apolline et Antoine ne percevaient que la tristesse de leurs parents et d’Hugo évidemment, le château ducal avait pris feu entraînant dans ses flammes bons nombres de personnalités influentes. Parmi elles, des personnes respectables que le couple appréciait, admirer, sans forcément réellement le connaître, loin d’être les seuls, ce fut tout le duché et ses habitants qui fût en deuil. Ce premier trouble ne marqua cependant pas les deux plus jeunes qui contrairement aux parents et au plus grand, ne gardèrent absolument aucun souvenir de cet événement.
    Sept ans maintenant que tout ce petit monde évolue ensemble, que les caractères s’affirment, se dissocient, si une rumeur concernant la différence de caractère entre le premier enfant et le second existait déjà, elle ne put se confirmer même au sein des deux enfants pourtant âgés du même nombre d’années. Hugo, le plus vieux, était d’un naturel attentif, ouvert, protecteur et non bagarreur, contrairement à celui de trois ans son cadet, qui se montrait plus brutal, moins tendre, moins patient ce qui le distinguait de la petite qu’on surnommait déjà « mini prêtresse » qui elle, n’aimait guère attirer l’attention, n’appréciait pas qu’on la complimente où qu’on la mette un peu en avant. Préférait-elle déjà s’occuper des animaux, accompagner son père dans les travaux de l’élevage, passant des heures à regarder les clapiers des lapins nouvellement arrivés. Déjà, on lui avait répété, déjà on lui avait dit qu’elle était privilégiée, qu’on l’enverrait dans quelques années dans une formation de prêtresse, qu’elle devait voir ça comme une bénédiction, un signe d’un cycle doux et prometteur. Ne pouvait-elle qu’y croire, qu’accepter ou tout du moins l’y faire croire pour faire plaisir à ses parents, qu’elle n’avait aucune envie de quitter. Proche de sa famille, proche de ses frères et notamment d’Antoine qu’elle essayait toujours de canaliser, de retenir, passait-elle bons nombres d’heures à le disputer, lui dire déjà qu’il causait du souci à leur frère, mais aussi à leurs parents. Tête de mule, Antoine n’y prêtait guère attention, préférant se concentrer sur les quelques rivalités enfantines qu’il avait avec les fils des différents voisins. C’est lors d’un de ces accrochages, qu’Apolline désobéit pour la première fois à ses parents, s’échappant un soir pour suivre Antoine qui s’était échappé discrètement. Première réelle dispute entre les deux enfants, l’un était armé d’œuf prêt à répandre sa rancune sur la demeure de la maison voisine, l’autre, petite, dans sa tenue de nuit armée de son petit cœur qui suppliait son frère de ne pas faire ça. Cette dispute, bien qu’enfantine, conduit Apolline à faire une chute dans de multitudes de fleurs à épines, coincée, ce fut ses hurlements qui ameutèrent le reste de la famille. De ce souvenir, la gamine ne gardera qu’une marque à son genou gauche, une cicatrice qui blanchirait avec les années, mais qui ne disparaîtrait jamais.
    Les deux années suivantes furent animées par la guerre des mômes, conflit créant cette aversion des tensions qui marqua profondément le caractère de celle qui jusqu’alors, n’avait jamais exercé une quelconque opinion sur les mésententes.  
    1235, anniversaire tant redouté et tant souhaité par le reste de la famille, si la fête se déroula sans la moindre embûche, si la petite brunette put s’épanouir aux côtés de ses deux frères qui n’avaient de cesse de la charrier, de la taquiner. La journée s’écoula sans que personnes ne puissent s’apercevoir des minutes qui disparaissaient, et puis le lendemain avait fini par arriver. Déchirement entre son envie de rester, pleure et hurlement, rien n’y avait fait, elle avait dû quitter Antoine, son Antoine, son double avait qui elle faisait beaucoup, ses parents et puis Hugo et son ombre protectrice. Cette année fut un grand chamboulement dans l’existence de l’enfant, qui se retrouva bien seule, sur une île à l’inspiration pleine de nostalgie. Rapidement, Apolline intégra le collège des clercs, un lieu isolé du reste de la ville –qui elle-même ne semblait habiter que par des représentants du culte-. Si les premiers pas furent difficiles, l’enfant sembla rapidement trouver ses marques. Les années s’écoulèrent, bercées par le rythme de la formation, des apprentissages et des visites annuelles de sa famille, si elle ne pouvait pas voir ses parents, ni même ses deux frères, elle n’avait de cesse de leur écrire, presque chaque jour, en cachette si cela s’était avéré nécessaire. C’est durant ses échanges écrits qu’elle prit connaissance des évolutions de son duché, mais aussi du comportement toujours plus provocateur d’Antoine. La description que lui en faisait Hugo était inquiétante, aussi loin, ne pouvait-elle que culpabiliser de ne pouvoir rien faire. Rapidement, les années passèrent, l’enfant passa adolescente, puis presque jeune femme. Son corps évolua, elle noua des liens avec d’autres jeunes en formation, jusqu’à se sentir parfaitement intégré et épanoui au sein de cette formation qu’on lui avait pourtant imposée. Mini prêtresse devint prêtresse, du moins presque.
    Année 1242, l’heure du choix propre, personne pour l’influencer, personne pour lui dire quoi faire. Apolline avait dû elle-même choisir, si elle désirait se spécialiser, si oui, dans quoi. Contre toute attente, celle qui avait pourtant une capacité d’écoute importante délaissa Rajas et Tamas pour se concentrer principalement sur Sattva. Naturellement elle intégra l’Astika Sattviste afin de se plonger dans un univers qui semblait la passionner, l’intriguer. Les trois ans ne furent pas forcément éprouvants, un peu déroutants par moment, mais particulièrement épanouissant pour celle dont le choix se confirmait, s’affinait au fur que les jours s’accumulaient. Après trois ans, Apolline dû surmonter une dernière épreuve, celle de la fin de toutes ses années. Plusieurs jours de jeûnes, avec des prières, des musiques du culte, difficile pour ce qui était désormais une jeune femme de pensée à autre chose que le Trimurti. Cette épreuve ultime de l'année 1245 fut d’autant plus difficile, que cette année-là, une tempête ravagea une bonne partie de l’île de Nacre. Apolline ressortit néanmoins victorieuse de cette épreuve, confirmant ainsi son nouveau statut. N’ayant pas le choix de son affiliation, elle fut envoyée au duché de Néra, dans le comté du même nom.Le premier souvenir de ce duché ne fut pas son paysage ou ses spécificités, mais surtout la rencontre entre une jeune et réservée prêtresse avec son Duc. Nacre l'avait déjà mise au parfum d'une certaine entente entre les deux contrées, ce qui mit une certaine pression sur les épaules de la douce Apolline. Naturellement, elle avait averti l'homme d'importance de sa venue par missive quelques semaines plus tôt. Le jour de son arrivée à peine le voyage effectué qu'elle s'était immédiatement présenté. Difficile de savoir ce qui troubla le plus la jeune femme vis-à-vis de cette personne d'une importance significative. Était-ce cette beauté froide, agréable à l’œil, ou cette incapacité un peu déroutant qu'elle avait eu à déterminer si il s'agissait bien d'un Duc ou d'une duchesse. Quoi qu'il en soit, la prêtresse avait dû se sentir bien petite face à cet individu qui avait l'habitude de s'exprimer, imposant, c'est le qualificatif qu'elle avait pensé à son sujet. Lui avait dû certainement la trouver douce, discrète, peut-être un brin trop réservé, quoi qu'il en soit, elle avait su du moins de son point de vue, démontrer son envie et sa volonté de s'impliquer de la bonne manière sur le territoire du Duc. Avait-elle naturellement proposée -non pas sans que ses formateurs de l’île lui ait avant son départ, soufflé à l'oreille- de servir d'intermédiaire pour les commandes de vitraux, ainsi de se tenir disponible pour tout besoin de celui qui devait à ne pas en douter avoir une certaine pression sur les épaules. La conversation perdura une bonne heure, avant de laisser l'homme à ses nombreuses occupations, un brin maladroite et bien que maîtrisant les bases de la politesse hiérarchique, Apolline avait dû laisser entrevoir son manque de pratique à fréquenter la haute sphère.
    L’année qui suivit, fut particulière, il avait dans un premier temps s’adapter à l’absence prolongée de sa famille dont elle avait eu l’espoir furtif de pouvoir les revoir. Elle fut néanmoins un voyage pour assister au mariage de son frère aîné Hugo, durant lequel elle apprit que tout lien avait été rompu entre sa famille et Antoine, qui lui-même s’était uni à une femme peu respectable. L’ensemble lui demandèrent de ne pas chercher à le revoir, à le contacter, n’était-il plus digne de porter le nom de Rougeole. L’annonce fut vécue comme un véritable drame, drame qui estompa le bonheur de l’événement. Repartant sur son désormais duché, Apolline ne put que tenter tout de même de laisser une lettre à Antoine, sans jamais ne savoir si lui-même pourrait la lire, gardant espoir, elle ne put renoncer à l’idée de le revoir, à parvenir de le ramener dans la réalité, comme petite, elle savait si bien faire. Avec ce voyage, elle entame une nouvelle correspondance, une avec un homme Henry Rougole, seul à parvenir à faire tomber ses barrières de méfiances. Si les échanges restaient dans un premier temps plutôt vastes, évoquant la pluie et le beau temps, les événements des duchés, ils se transformèrent finalement en des courriers plus intimes, moins retenus.
    Fin 1246,  malgré les canicules frappant l’empire et la présence de pirate dans son environnement proche, l’année 1246 fut une année bonheur, Apolline Maloura devient Apolline Rougole, femme aimante d’un homme qui a tout quitté pour venir la retrouver. Elle est une prêtresse appréciée qui ne compte pas les heures qu’elle passe au service des autres, elle tombe rapidement enceinte d’un enfant qui s’annoncera féminin pour son plus grand bonheur et celui de son époux, épanouie, elle en oublie presque Antoine dont elle n’a toujours aucune nouvelle. Hugo et ses parents vont biens, et continuent à lui offrir régulièrement des nouvelles, toujours au même rythme. La suite s’enchaîna sans grande surprise, désormais mère de famille, elle parvenait à occuper son temps entre ses deux passions, son métier et sa propre famille qu’elle espérait avoir la chance d’agrandir. L’année 1247 toucha doucement à sa fin, offrant une dernière surprise à Apolline, qui en rentrant tardivement chez elle un soir, tomba sur son frère, Antoine. Blessé, l’homme la supplia de le suivre, de venir l’aider, avait-il eu un problème, y avait-il d’autres personnes nécessitant de l’aide. Il refusa toute prêtre, soigneur supplémentaire et entraîna sa sœur –en jouant la carte de la sensibilité- vers les quartiers moins respectables. Cette nuit-là, Apolline comprit que sa famille avait raison, comprit que le frère qu’elle avait connu pouvait représenter une menace pour son propre foyer, cependant incapable de le renier, incapable de refuser, elle l’avait suivi pour passer sa nuit à porter secours à des petits voleurs, des hommes de mains et autres personnes peu respectables qui voyait la présence de la prêtresse comme une épingle à tirer.
    Année 1248, année souffrance, difficile, douloureuse. La prêtresse observe son mode s’écrouler petit à petit, cela commence par la mort de personnalités importantes de l’empire, puis de son frère trop présent, trop vorace autour de sa famille, de sa fille. Antoine demande plus, toujours plus, de l’argent, mais aussi de lui offrir une couverture, alors qu’on le suspecté d’avoir volé une grande famille, Apolline ne sachant plus réellement quoi faire, accepte, avant de couper par la suite complètement les ponts avec celui qu’elle ne reconnaît plus et ne parvient pas à faire revenir sur le droit chemin. La suite fut d’autant plus dramatique, plus que la peste s’infiltre à l’intérieur des terres, emportant avec elle bon nombre de famille, de connaissance, mais surtout son propre foyer entier. Détruite, elle vu s’éteindre son époux, puis sa petite fille. Dévastée, elle replongea davantage dans son métier, oubliant le reste, sa maison, ses biens, plus rien n’avait d’importance hormis sa profession et ce deuil qu’elle portait sur elle. Ses sourires se faisaient plus rares, plus complexes. Le malheur ne peut néanmoins perdurer et en cette année 1249, elle semble enfin accepter de communiquer de nouveau, sans pour autant imaginer une seule seconde de quoi sera fait son avenir, craignant que la mort de son tendre et son petit trésor ne soient le fruit de l’aide apporté à Antoine, un juste retour de Karma. Apolline se jugeait coupable de bien des torts, certainement beaucoup trop. À présent tout était à reconstruire, tout en jonglant avec l’ombre de ce frère un peu trop négatif pour elle.


    Compétences



  • Voie de Sattva- Niveau 3

  • Érudition -religion-- Niveau 3

  • Science(médecine) - Niveau 2

  • Étiquetage - Niveau 2

  • Persuasion - Niveau 1

  • Discrétion - Niveau 1



  • Derrière l'écran



    Êtes-vous majeur ? Ouaip, depuis quelques années ! 
    Avez-vous lu le règlement ?Code validé par Courage
    Comment-êtes vous arrivé sur Les Serments d'Eurate ? Un gentil monsieur qui se reconnaîtra =)
    Une suggestion ? Peut-être regrouper les différents textes sur le même thème ? Sinon rien de particulier. // Je n'arrive pas a ouvrir le lien des compétences, du coup, impossible de compléter pour l'instant =/ 
    Ce personnage est-il un DC ? Si oui, de qui ? Nop.




    Re: Apolline Rougole ─ Sam 4 Aoû - 20:02
    Chroniqueur Impérial
      Chroniqueur Impérial

      Réputation  - 04.08.2018



    • LA CAPITALE EVALON



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    • DUCHÉ DE LA CROIX DES ESPINES


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      COMTÉ D'EMERALD
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      COMTÉ DE POSVÁNY
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    • DUCHÉ DE MELLILA


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    • DUCHÉ DE VOLG


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      COMTÉ DE MONT DRAGON
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    • ÎLE DE NACRE


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    • HORS FRONTIÈRES


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      Royaume d'Azelan:.... ■ - ■ - ■ - ■ - - ■ - ■ - ■ - ■... 0000/1999 pts

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