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Liuśjen Arseni Elisei D’Empyrée
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Liuśjen Arseni Elisei D’Empyrée ─ Dim 26 Aoû - 13:15
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    Liuśjen Arseni Elisei D’Empyrée


    “Devoir et Abnégation”



    36 ans
    Originaire de Evalon
    Vassalité : Evalon
    Statut social : Haute Noblesse
    Son métier : Membre de la Chambre Haute,
    Directeur des Établissements Peyre-Estèla,
    Maître de la Corporation des Vignobles et Autres Métiers Associés


    Armoiries


    Liuśjen Arseni Elisei D’Empyrée Blason10


    Caractère


    Ce que l’on remarque de prime abord, à propos de Liuśjen, c’est son calme à toute épreuve. Quels que soient les sentiments qu’il puisse ressentir, il ne les montrera que rarement ; aussi ne paraît-il jamais s’énerver. C’est son air posé, réfléchi, qui lui donne toute, sa prestance, son charisme. Sa voix grave ajoute à la noblesse de son apparence, et possède le don d’apaiser ses interlocuteurs. Ayant pris conscience de cela, Liuśjen s’en sert pour toujours faire passer ses idées, lesquelles sont toujours mûrement réfléchies, son ton monotone ayant quelque chose de captivant. C’est un orateur redoutable parmi ses pairs, mais ce qui est un avantage dans les hauts cercles de la noblesse est un inconvénient avec le bas-peuple, car rien dans son attitude ni sa tonalité de voix ne permet de haranguer les foules. Mais il n’en a cure, car c’est parmi les sangs-bleus que se décide la politique d’Eurate. Concernant ceci, d’ailleurs, évoluer à ce niveau n’était pas son ambition première, mais coopté en lieu et place de son défunt père, son patriotisme et sa recherche de la perfection l’ont mené à s’appliquer à cette nouvelle tâche avec autant d’application qu’il gère son entreprise. Car oui, loin de ne pas aimer l’argent, qu’il possède à foison, son sens du devoir est tel qu’il n’usera jamais de son influence pour son propre intérêt, mais uniquement pour le bien de l’Empire. Cela le rend incorruptible, et intransigeant avec ceux en étant coupables.
    En affaire, Liuśjen est un homme redoutable. Sous sa direction, l’entreprise familiale a continué son ascension, et il est bien décidé à faire perdurer ceci. Toutefois, il est intimement persuadé qu’une affaire doit être profitable aux deux parties, aussi n’essaiera-t-il jamais de piéger un potentiel associé. Juste et droit, il est aimé de ses employés, en partie après son ‘’exploit’’ de jeunesse, et en partie car, malgré la différence de rang, il reste humain avec ses ouvriers.
    C’est ainsi que l’on pourrait résumer Liuśjen : une enveloppe d’apparence dure et froide, protégeant un cœur sincère.
    Un cœur dans lequel sa fille occupe une place plus qu’importante. Fruit de l’amour que sa femme et lui se portaient mutuellement, elle est à la fois le souvenir d’un passé heureux, et la promesse d’un futur merveilleux. Il aime sa fille, plus que tout autre chose en ce monde. Elle est devenue sa force, et sa faiblesse, car pour lui assurer un avenir radieux, ou la protéger, il ne reculera devant rien.


    Physique


    Liuśjen correspond parfaitement à l’idée que l’on pourrait se faire d’un noble de la capitale. Grand, élancé, et distingué d’apparence, il ne transparaît toutefois pas de lui l’orgueil inhérent des personnes de sa caste sociale. Très pâle, car passant ses jours enfermées dans divers bureaux, la blancheur de sa peau est très fortement contrasté par ses cheveux de jais, lesquels sont mi-longs et toujours tirés en arrière afin d’être plaqué contre son crâne.
    Son visage, entouré d’une barbe fournie mais très bien taillée, est long et fin, avec des pommettes saillantes surmontant des joues creusées par les diverses préoccupations hantant son esprit. Ses yeux sont d’un gris très clair, avec toutefois une légère teinte de bleu, mais leur expression, comme celle du reste de son visage, est toujours dure et semble toujours juger ses interlocuteurs. Ils ne sont pas inexpressifs, mais expriment toujours la même chose, le même sentiment, la même pensée. Ses différentes rides viennent en partie de là, de son visage arborant toujours la même expression, qui toutefois ne s’éclaire qu’en présence de sa fille chérie. Alors ses lèvres, d’ordinaire pincée, dessinent un sourire heureux et sincère. Ses yeux deviennent joyeux et rieurs, et ses rides semblent disparaître comme par enchantement.
    Si le reste de son physique n’a toutefois rien de particulier, il en va de même pour les vêtements qu’ils portent. Malgré son rang social élevé, ses habits sont sobres quoique d’excellente facture. Depuis la mort de sa femme, leurs couleurs se limitent au noir ou à des nuances de gris, mais il fut un temps où il privilégiait les couleurs sombres. En un sens, sa seule coquetterie est sa canne en ébène, avec un pommeau d’argent dont la forme évoque une roseraie circulaire. Le travail très fin du bijoutier comporte ainsi de minuscules roses accompagnées de leurs ronces.
    De manière générale, ce qui transpire de l’apparence de Liuśjen est bel et bien son caractère. Dur mais charismatique, calme mais décidé. Et sa peine.


    Histoire


    Lorsque Sophicie mourut, j’eus l’impression de perdre une partie de moi-même. Imaginez l’incendie d’une bibliothèque. Quand bien même des milliers de livres seraient sauvés, le résultat serait le même : des ouvrages seraient perdus, causant un vide irrémédiable. Sophicie était pour moi la femme de ma vie. Elle me faisait rire lorsque j’étais inquiet, anxieux ; était à mes côtés dans le bonheur comme dans l’adversité. Elle incarnait la femme que tout homme désirerait avoir. Je l’aimais. J’aimais son sourire, qui faisait apparaître de magnifiques fossettes, qui dévoilait ses belles petites dents, … Son sourire me réchauffait le cœur, signifiait tout pour moi. Après vingt ans de mariage, je l’aimais toujours autant qu’au premier jour, comme un adolescent. De notre union était née une adorable petite fille, mais Sophicie restait la pierre d’ancrage de notre foyer, celle autour de qui tournait. Je l’aimais…

    Je n’ai pas pour ambition d’écrire mes mémoires, ou quoi que ce soit dans cette idée-là. Mais quelques fois, cela aide de faire le point. Et écrire m’a toujours permis de mettre mes idées en ordre. Le grattement de la plume sur le parchemin, l’odeur de l’encre, ont quelque chose d’apaisant. Et puis, ce n’était pas comme si quelqu’un allait un jour lire ces cahiers.

    Mon enfance fut classique, sans rien de bien extraordinaire. La Maison d’Empyrée habite Evalon depuis plusieurs siècles maintenant ; elle en est l’une des plus vieilles familles. A l’origine, toutefois, elle était une branche secondaire d’une grande famille de la Croix des Espines, aujourd’hui disparue, ses terres appropriées par d’autres. Pour survivre, elle a fait de la distillerie un art, mais j’y viendrai plus tard. Aussi, la vie d’un enfant au sein d’une telle famille ressemblait à celles de tous les autres : de nombreux précepteurs venaient m’inculquer l’étiquette, l’arithmétique, et également des rudiments de chimie, parmi tant d’autres choses. Rapidement, toutefois, je devins l’ombre de mon père, qui me formait à sa succession.

    Mon père, Alyosha Mefodiy, était un homme dur, exigeant, mais juste. Ses démonstrations d’affection étaient rares, ses attentes hautes, mais quel plaisir de voir, lorsque j’y répondais, cette brève étincelle de fierté dans ses yeux. Tout comme ses pères et grands-pères avant lui, il gérait l’entreprise familiale d’une main de fer, avec brio, et appartenait à la Chambre Haute, où il était reconnu comme un membre influent et important de cette organe. Aujourd’hui, alors que j’ai pris sa place, nos proches amis disent que j’en suis devenu, à mon tour, un acteur majeur, disent que bien que je ne puisse prendre de décision, mon influence était telle que mes conseils étaient toujours ceux faisant basculer les débats dans une direction ou l’autre. Dans la mesure où je me suis fait de nombreux ennemis à la Cour, je suppose qu’ils disent vrai, au moins dans une certaine mesure. Il est toujours difficile de savoir soi-même.

    Mais je m’écarte une nouvelle fois. Qu’il est aisé d’ainsi partir dans des circonvolutions lorsque l’on écrit ses pensées. Mais penser me fait oublier la douleur lancinante de mon genou droit. Peut-être devrais-je écrire cette histoire elle aussi. Elle m’est arrivée quelques mois avant mon mariage, alors que j’accompagnais mon père, comme toujours, et que nous inspections la distillerie. L’un des tonneaux de liqueur était suspendu à trois mètres de haut, en train d’être hissé sur la galerie supérieure, d’où il serait basculé sur un pentaglisse et ainsi chargé sur un chariot. Sauf que la corde du palan craqua subitement, et j’eus à peine le temps de pousser un ouvrier sur le côté, lui sauvant ainsi la vie. Ce qui s’ensuivit ne fut pas glorieux, cela dit, car le tonneau tomba sur ma jambe, me brisant le genou. Je gagnai ainsi, sans le vouloir, le respect de chacun de nos ouvriers, encore vif à ce jour, mais devins estropié à vie. Oh, je m’en remis vite, car après tout, cela aurait pu être pire et les médecins firent des miracles, me permettant de ne marcher qu’avec une canne.

    Néanmoins, cela fait partie du passé, retournons à des sujets plus joyeux. Mon mariage avait été décidé de nombreuses années auparavant, et Sophicie et moi eûmes la chance de passer du temps durant les années séparant nos fiançailles, apprenant à nous connaître, nos rêves, nos aspirations, … Nous en vînmes à nous aimer, devenant impatient de nous marier. Ce jour arriva finalement, dans la plus belle cathédrale de l’Empire, celle d’Evalon, qui était ce jour noire de monde. Malgré notre absence de titres ou de terres, la position de notre famille dans les plus hautes strates politiques d’Eurate en fait l’une des plus prestigieuses. Mais en cette journée si importante, si particulière, je n’avais cure de tout cela. Seul comptait Sophicie.

    Trois années passèrent, lorsque mon père, affaibli par un Hiver terriblement froid, mourut. Bien qu’ayant été son bras droit de nombreuses années durant, me retrouver ainsi seul, ayant la responsabilité de toutes les affaires familiales, manqua me submerger. Là encore, Sophicie me prêta sa force, qui me donna le courage de tout surmonter, et de faire mon deuil. A sa mort, mon père m’avait laissé une fortune considérable, une des plus grosses de l’Empire, et une entreprise plus que florissante, fruits de générations de D’Empyrée. J’entrepris donc de continuer l’œuvre familiale, et de tout faire fructifier. Je n’aime pas me vanter, mais je dois dire que je suis fier d’avoir réussi. Aujourd’hui, les Etablissements Peyre-Estèla dominent le marché des liqueurs, proposant de nombreuses gammes adaptées à toutes les bourses : le noble ou le bourgeois pourra donc siroter une eau-de-feu raffinée, ou bien des liqueurs de fruits divers et variés, tandis que le simple citoyen pourra se délecter d’alcool de pommes de terre, de blé, … Je dois avouer que l’une de mes ambitions est de percer dans le domaine vigneron, mais les Baros tiennent le marché d’une main de fer. Je dois donc me contenter d’un monopole sur celui des liqueurs, mais en soit, ce n’est peut-être pas plus mal.

    Mais avant d’arriver à cette période faste économiquement, j’eus à faire mes preuves sur un autre tableau. Quelques mois après le décès de mon père, on m’informa que je devais me sentir honoré de prendre sa place au sein de la Chambre Haute. Moi qui n’aimait pas les jeux de pouvoir, j’entrais dans cette arène impitoyable, où la moindre faiblesse était guettée. Je déçus tout le monde en y réussissant de la même manière que pour mon entreprise. Cette réussite ne fut pas au goût de tous, et je me suis fait de nombreux ennemis, ayant survécu à trois tentatives d’assassinat. Quelle ironie ; moi qui ne suis pas intéressé par le pouvoir, je mets mes capacités au service de mon pays par devoir, car je le dois, et non par ambition personnelle. Peut-être est-ce cela qui me vaut l’inimitié de ces gens-là ? Fort heureusement, au fil des années, les D’Empyrée ont réussi à s’allier avec d’autres grandes Maisons, ce qui nous permet d’avoir encore plus de poids que par nous-mêmes.

    Dix années après notre mariage, alors que les affaires allaient à merveille, que je réussissais dans les hautes strates politiques comme économiques, et que l’avenir nous souriait, Sophicie mit au monde le plus beau trésor qui fut : notre fille, Lyudmila Enetari Syuzanna. A partir de ce jour, elle fut notre joyau. Elle symbolisait notre amour, la perfection. Tandis qu’elle grandissait, nous étions témoins chaque jour de ses aventures de petite fille. Ma femme était fière, et je l’étais aussi. Dix nouvelles années passèrent, Durdinis passa, et la peste arriva.

    Sophicie tomba malade. Par les Trois, si seulement les Dieux avaient pris ma vie à la place de la sienne… Les meilleurs médecins d’Evalon se sont relayés à son chevet, mais rien n’y faisait. Les heures, les jours passèrent, et toujours, elle semblait s’approcher de plus en plus de la mort, qui finalement vint la saisir, elle et notre second enfant à naître. Ce fut… Indescriptible. J’eus l’impression que l’on m’arrachait mon âme, mon cœur. Et le plus terrible fut de regarder ma fille perdre sa mère. Guérira-t-elle un jour de cette blessure profonde ? Je l’espère. Elle fut mon ancre en cette période, car pour elle, je n’avais pas le droit de me laisser aller, je devais rester fort, rester le pilier qui la soutiendrait pour la lancer dans la vie.



    Liuśjen referma son cahier, après avoir reposé sa plume dans son étui. Il porta la tasse de thé chaud à ses lèvres, et en but une gorgée en regardant par le fenêtre la pluie qui tombait au-dehors. Le manoir était silencieux, mais depuis son bureau, qui dominait avec une belle vue le parc entourant leur demeure, il pouvait apercevoir derrière les hauts arbres le mur séparant la distillerie du reste de la propriété. Mais son regard se perdit dans les feuillages. Un oiseau s’abritait dans son nid.


    Propriétés


    - Domaine de Fontainectar (comprend manoir de la famille, un immense parc, ainsi que la distillerie et bâtiment afférents pour les liqueurs, personnel, séparés du manoir par ledit parc et des murs intérieurs, … Situé à deux lieux d’Evalon intramuros) ;
    - Petit hôtel particulier à Evalon même, l’Hôtel du Firmament.


    Compétences



  • Administration d'une entreprise - Niveau 3 (12 points)

  • Politique - Niveau 3 (12 points)

  • Etiquette - Niveau 2 (6 points)

  • Persuasion - Niveau 2 (6 points)

  • Science : Chimie - Niveau 1 (2 points)

  • Erudition : Clavecin - Niveau 1 (2 points)


  • Derrière l'écran



    Êtes-vous majeur ? Oui
    Avez-vous lu le règlement ? Hocus pocus et flicitus
    Comment-êtes vous arrivé sur Les Serments d'Eurate ? En y étant déjà.
    Une suggestion ?
    Ce personnage est-il un DC ? Si oui, de qui ?Dc de Arrhys De Croix-Givre Des Aigues-Cristallines




    Re: Liuśjen Arseni Elisei D’Empyrée ─ Mer 29 Aoû - 18:29
    Chroniqueur Impérial
      Chroniqueur Impérial

      Réputation  - 04.08.2018



    • LA CAPITALE EVALON



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    • DUCHÉ DE LA CROIX DES ESPINES


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      COMTÉ D'EMERALD
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      COMTÉ DE POSVÁNY
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      COMTÉ D'ARAGON
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    • DUCHÉ DE NÉRA


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      COMTÉ DE BAROS
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      COMTÉ D'UZÉ
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    • DUCHÉ DE VOLG


    • COMTÉ DE VOLG
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      COMTÉ DE TERRESANG
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      COMTÉ DE MONT DRAGON
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    • ÎLE DE NACRE


    • Le clergé :..... ■ - ■ - ■ - ■ - - ■ - ■ - ■ - ■... 0000/1999 pts


    • HORS FRONTIÈRES


    • Territoire Thoréen:.... ■ - ■ - ■ - ■ - - ■ - ■ - ■ - ■... 0000/1999 pts

      Territoire Khöz:......... ■ - ■ - ■ - ■ - - ■ - ■ - ■ - ■... 0000/1999 pts

      Royaume d'Azelan:.... ■ - ■ - ■ - ■ - - ■ - ■ - ■ - ■... 0000/1999 pts

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