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Simon Lazaret
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Simon Lazaret ─ Mer 27 Mar - 2:47
Simon Lazaret
    Simon Lazaret
    Médecin

    Simon Lazaret


    "Et c'est toujours un peu descendre, dans une tombe profanée." - Aragon



    49 ans
    Originaire de Myrrhe, en Aragon
    Vassalité : L'Ordre des médecins d'Evalon
    Statut social : Citoyen
    Son métier : Médecin-chirurgien itinérant


    Caractère


    Si vous vous faites de Simon, en tant médecin de campagne itinérant, l'image d'un homme doux et compatissant, soucieux autant de l'âme que du corps de ses fidèles et de ses patients, détrompez-vous tout de suite.

    Simon est au contraire de ça un homme pour le moins sinistre, assez froid et renfermé de caractère, à l'âme renfrognée, dont les longues années d'études, suivies d'autant d'années d'errances, à côtoyer la maladie et la mort, la guerre et la famine, ont lentement mais sûrement érodé ses déjà maigres capacités d'empathie, de patience, et d'amour de son prochain... Orgueilleux et contradicteur dans l'âme, plus intéressé par la vérité - entendre sa vérité - que par la diplomatie et le respect des convenances, de l'autorité, ou même des sensibilités, il a toujours possédé, depuis l'enfance, le don de se mettre à dos très rapidement toutes les personnes qui l'entouraient. Sa vanité, cependant, a l'avantage - ou le défaut, encore, selon les points de vue - de le pousser à faire toujours plus, à vouloir faire mieux que les autres, à rechercher toujours de nouvelles solutions, plus efficaces, à tous les problèmes posés par sa profession. 

    Jamais intéressé par les méthodes traditionnelles, qu'elles aient fait leurs preuves ou non, Simon ressent ce besoin insurmontable de sans cesse expérimenter, de sans cesse découvrir de nouvelles manières de traiter une affliction, une plaie, un poison... Il est obsédé, véritablement dévoré par l'idée de l'avancement de la médecine, qu'il considère un peu comme "son art" à lui, et qu'il pratique d'ailleurs avec assez peu d'égards pour les patients, n'hésitant jamais à tester sur eux les outils et remèdes qu'il vient seulement d'imaginer, sans jamais les consulter préalablement... Il fait confiance à son aura, à l'autorité savante qui émane de sa personne, de sa tenue, pour imposer, aux âmes les plus simples, le silence et l'acceptation tacite de ses méthodes, aussi douteuses qu'elles puissent paraître.

    En particulier, il s'intéresse à la chirurgie. Il a pratiqué à vrai dire un nombre incalculable d'amputations, notamment, au cours de ses vingt-deux dernières années à suivre de près le front de la guerre, où qu'elle se traîne. Il prend soin d'ailleurs de noter chacune de ses observations en la matière, et dans toutes les autres aussi, décidé un jour à produire un manuscrit regroupant toutes ses théories et le fruit gigantesque de l'expérience de toute sa vie. Son ambition est véritablement de se placer une fois pour toutes au panthéon des révolutionnaires de la médecine, et de s'ouvrir ainsi enfin la voie vers la reconnaissance de ses pairs et une certaine forme à la fois de revanche et d'immortalité.

    Pour en revenir à son caractère proprement dit, disons encore qu'il s'agit d'une personne sombre, parfois même irascible, qui se désintéresse très rapidement d'autrui, à partir du moment où celui-ci ne représente pas un cas à traiter, qu'il s'agisse d'une blessure ou d'une maladie. Et même dans ce cas, son seul point d'intérêt demeure essentiellement médical. Bien qu'il tente maladroitement parfois de s'en cacher, Simon est en réalité tout à fait misanthrope, non seulement sur les bords, mais aussi au milieu, en plein cœur, et tout autour. Son intellect effectivement développé, sa culture relativement conséquente, font qu'il a très largement tendance à dédaigner la compagnie des hommes, surtout des moins instruits, et à considérer chacun du haut de sa grande tour d'ivoire, les yeux baissés sur eux avec un regard de pitié froide, hautaine.

    Aussi, pour espérer entrer dans ses bonnes grâces, il faut commencer déjà par montrer de l'esprit, un peu d'instruction et un beau langage. Ensuite, le meilleur moyen reste de le flatter, ou de paraître s'intéresser et adhérer à ses idées et théories. Ce qui n'est pas chose aisée, en ce qui concerne ses théories, étant donné qu'elles sont invariablement assez complexes, alambiquées, voir fumeuses, et toujours radicales, presque sciemment dérangeantes, comme si Simon prenait un malin plaisir à toujours prendre le contre-pied des dogmes établis, par un vain soucis d'originalité, ou juste pour se faire contrariant. Quant à ses idées, en ce qui concerne ses pensées intimes et quotidiennes, elles sont pratiquement toujours moroses, déplaisantes, pessimistes... Ce qui rend sa compagnie comme sa conversation rapidement désagréables, horripilantes, voir même déprimantes, à sans cesse évoquer le temps qui passe, les maux du corps, la déchéance des choses, et leur inexorable et funeste destin... Et ceci quand son disque ne tourne pas juste en boucle à propos de ses dernières expériences ou de sa dernière opération...

    En bref, vous l'aurez compris, Simon n'est pas, de loin, le compagnon de beuverie idéal...


    Physique


    Sinistre de cœur et d'esprit, Simon l'est aussi d'apparence. 

    Malgré lui, dans son attitude, dans son regard, transparaît le mépris sous-jacent qu'il porte à la race humaine, pourtant la sienne. Si ce dédain profond peut lui donner, sous certains angles, une certaine prestance, une sorte de distance un peu aristocratique, qui impressionne souvent les petites gens, et les naïfs, il a aussi bien évidement tendance à agacer, irriter, voir à vexer les personnes les plus susceptibles, les caractères les plus affirmés. Rien qu'à sa manière de se tenir, d'observer le paysage et les personnes qui le composent, de se comporter, avant même d'ouvrir la bouche, il n'est pas rare qu'on se lasse de lui, que l'on cherche vite à le chasser, suspectant son âme noire, et lui prêtant d'odieuses pensées. 

    En particulier dans les villages un peu reculés, où tout le monde se méfie déjà instinctivement des étrangers, il arrive souvent, pour peu que sa venue coïncide avec quelques événements malheureux (et c'est pratiquement toujours le cas, puisqu'il ne choisit pas ses destinations tout à fait au hasard), qu'on finisse par lui créer une sale réputation, voir à relier l'arrivée du malheur directement avec la sienne, surtout lorsque ses efforts se heurtent à la violence du mal, et qu'il ne parvient à rien arranger. 

    Il faut dire que son air en permanence sombre, austère, et méprisant, ses manières brusques, arrogantes, sans compassion, ses traits tirés, ses grands cernes noirs, comme ses yeux et ses cheveux raides, et sa peau cireuse et creusée par le jeûne, sa grande carcasse livide, toujours engoncée dans quelques habits lugubres et tout aussi sombres que son humeur, tout cela le fait assez ressembler à une image de la mort personnifiée, transmettant rapidement le doute à son sujet, voir la peur... Et dans certains lieux où il est plusieurs fois passé, on parle de lui comme d'un oiseau de malheur, un augure annonciateur, voir même un provocateur de cataclysmes. 

    De ces endroits, bourgades isolées et misérables, peuplées de gens craintifs et superstitieux, il est factuellement banni, menacé de mort. Cela ne l'émeut évidemment pas, mais l'ennui, seulement, dans la mesure où tous les lieux dont il est privé d'accès, le privent en même temps de cas peut-être originaux, intrigants, autant de défis potentiels à sa science, à son obsession...

    Rajoutons enfin que Simon se déplace principalement à dos de cheval. Depuis bientôt quinze ans, il possède la même monture, nommée Japhet, un hongre de dix sept ans, de robe grise, devenue presque blanche avec l'âge - son seul véritable compagnon et ami, en quelque sorte. Et ceci renforce un peu plus encore son aura mystique effrayante auprès des badauds qui voient arriver ce grand homme pâle, vêtu de noir, au regard profond et menaçant comme un abîme, perché sur sa grande monture blanche, et transportant des potions bizarres, un énorme grimoire, et des outils tranchants, comme des scies à os de sa conception, et du vieux linge tout tâché de sang... 

    Ainsi chevauchant, créature sinistre et blême, tel un spectre de légende, on le croirait vraiment venu moissonner les âmes de toute la contrée...



    Histoire


    Au sujet de son enfance, il serait pratiquement vain de le questionner. Car Simon se souvient assez peu de ses premières années. À vrai dire, depuis très longtemps, il ne parvient même plus vraiment à visualiser les visages de ses parents, de ses deux frères, qu'il ne saurait jamais reconnaître aujourd'hui... Puisque le temps efface la mémoire des hommes aussi sûrement que la mer grignote le flanc de la falaise, quarante ans d'absence sont bien assez pour délaver jusqu'au souvenir de son premier foyer.

    Tout de même, il se rappelle être le troisième fils d'un très riche armateur de Myrrhe, Georges Lazaret, grand bourgeois, lui-même originaire de Richecolline. Les réalités de l'environnement familial d'alors lui échappent cependant. N'ayant jamais été destiné à reprendre ni même à participer aux activités économiques de la famille, en vertu des traditions, il ne se souvient pas avoir particulièrement reçu ou manqué d'attention, ni d'amour. Il se suppose avoir été un enfant discret et discipliné, passant toujours derrière ses deux aînés en toutes circonstances, mais il n'a pas vraiment de preuves à ce sujet, seulement quelques restes de sensations baignant sa mémoire. Et puis quelques images floues aussi, d'un lieu, d'une scène, une lumière sur un plancher, ou dans une voile, même une odeur, une voix, le chant des vagues, remontant parfois à la surface de son esprit, sans savoir s'il s'agit réellement d'un souvenir, ou bien d'une construction de son inconscient, comme un fragment de rêve...

    Toujours est-il qu'à neuf ans, après avoir réussi l'épreuve nécessaire et reçu une première éducation aussi rigoureuse que possible, auprès de précepteurs attentifs et scrupuleux, ayant donc déjà acquis les rudiments des lettres et du calcul, il fut envoyé sur l'île de Nacre, pour accomplir effectivement le destin que sa naissance lui promettait. Là-bas, il découvrit bien sûr un environnement propice au développement de son intellect et à l'extension de son savoir. Élève brillant, quoiqu'assez peu sociable, ses professeurs furent au moins autant impressionnés par ses dispositions à l'apprentissage, qu'agacés par ses incessantes remarques et ses interrogations, qui venaient chaque fois remettre en cause les méthodes et les dogmes hérités du passé. Sa curiosité maladive et son esprit contrariant établirent pour lui en quelques années une solide réputation d’orgueil et d'indiscipline qui n'était pas, au reste, tout à fait infondée.

    Tant et si bien qu'après sept ans de séminaire, alors qu'il aurait dû normalement confirmer ses vœux et se diriger vers la Voie de Tamas, conformément à ses souhaits, il eut la cinglante surprise de se voir refuser l'accès à la seconde part de son apprentissage, comme il avait durant ce temps réussit l'exploit formidable de se mettre à dos pratiquement l'ensemble de ses camarades et supérieurs, tous dégoûtés par l'arrogance vindicative de ce jeune homme incapable de se satisfaire jamais des  explications transmises par la tradition, et tout aussi peu enclin au respect des ordres, et à plier devant l'autorité et la sagesse de ses aînés... Le conseil qui lui annonça son renvoi reconnut sans mal ses capacités, son intelligence, mais le jugea bien trop suffisant et prétentieux pour faire un prêtre digne de ce nom. Ceci puisqu'aucun d'eux ne pouvaient l'imaginer administrer une paroisse et prendre en main les âmes de toute une communauté, lui qui semblait à peine capable de prendre déjà soin de la sienne...

    Malgré la rage qu'il démontra publiquement, frôlant plusieurs fois l'insulte, au comble de l'humiliation, Simon ne fut pourtant pas abandonné dans la nature. On lui offrit une bourse pour poursuivre ses études dans le civil et il fut recommandé auprès de plusieurs maîtres, afin d'apprendre un métier qui pourrait lui plaire. Profondément blessé par ce désaveu, mais encore trop fier pour retourner bredouille dans sa famille, qu'il n'avait plus revu depuis son départ, il fut bien forcé de se plier aux suggestions de son ancienne hiérarchie. Ainsi, débarrassé de sa robe, il retrouva le continent avant de d'entamer le voyage jusqu'à la capitale de l'Empire. Il fut donc accueilli en tant qu'aspirant dans la communauté des médecins d'Evalon, chapeautée par de nombreux clercs d'expérience. Et l'on fit même tout le nécessaire pour lui offrir une deuxième chance, malgré la réputation difficile qu'il se traînait et le peu d'enthousiasme qu'il manifesta les deux premiers mois, encore brusqué par l'affront de son renvoi.

    Mais avec le temps, d'ordinaire, tout retombe et s'aplatit. Les sentiments déclinent plus vite que la santé. Et la rage se change en haine, et la haine cristallise en rancœur, qui vient se ficher parmi les autres, rejoindre les cristaux de glace qui s'accumulent et nous enserrent à l'intérieur... Alors Simon finit par dépasser sa déception, seulement pour la sublimer en quelque chose de plus sournois, comme une rancune si cuisante au fond, qu'elle lui servira désormais de motivation centrale dans toutes ses entreprises. Par-dessus tout décidé à faire regretter à l'Eglise son choix de l'exclure, il se voua dès lors corps et âme à la médecine, rejetant la foi et la prudence, se laissant dévoré par l'obsession de devenir le plus éminent connaisseur et guérisseur du corps humain, à en faire trembler de jalousie le Triarque de Tamas lui-même. Il allait suivre sa propre voie, découvrir sans aucune aide ce qu'on avait refusé de lui montrer, avec l'idée folle ancrée en lui de vaincre au final la mort elle-même, de défier l'ordre naturel et les Dieux en personnes.

    Pour ce faire il se transforma du jour au lendemain en élève modèle, suivant toutes les directives et absorbant chaque minuscule parcelle de connaissance, jusqu'à la plus petite miette de savoir passant à sa portée. Il aspira tout, capta toute l'expérience de ses pairs, comparant toutes les méthodes, les appliquant chacune successivement, pour déterminer celle qui serait la sienne. Et même si bien sûr aucune ne lui semblait suffisamment bonne, s'il était toujours persuadé d'être facilement capable de faire mieux, de trouver plus efficace, il se gardait désormais de l'afficher. C'est en secret qu'il développait déjà ses propres théories, en secret toujours qu'il tenta ses premières expériences, le plus discrètement possible, d'abord sur de petits animaux, comme des oiseaux, des rongeurs, des chiens ou des chats... Dans l'obscurité, il affrontait déjà l'obscurantisme, à sa manière audacieuse, pour ne pas dire très illégale.

    Enfin après cinq ans d'études supplémentaires, l'année de ses vingt-et-un an, il fut reçu en tant que compagnon à part entière, et membre de l'ordre des médecins d'Evalon. Dans un premier temps, il continua d'assister les maîtres dans leur travail, observant plus qu'il ne pratiquait officiellement. On attendait surtout de lui qu'il admire et confirme chaque intervention à laquelle il était convié, sans jamais réellement se trouver en position d'émettre la moindre critique, ce dont son orgueil ne pouvait bien sûr s’accommoder éternellement. De plus, il observa que l'immense majorité de ses collègues s'enfermaient dans des routines de soins sans réflexion, appliquant par réflexe telle ou telle cure en raison de telles ou telles maux, sans chercher à proposer rien d'autre que les prescriptions ordinaires. Résolu à ne pas se changer lui-même en fripier du requinquage, et se sachant sous la surveillance de ses pairs, ici dans la grande ville, il finit par choisir l'exil volontaire.

    C'est donc à vingt-sept ans que Simon, avec seulement quelques habits dans son petit balluchon, sans aucune expérience pratique du voyage et de la vie en extérieur, mais avec des ambitions et des projets plein la caboche, qu'il se retrouva livré à lui-même, à parcourir à pied d'abord les routes et les sentiers des alentours de la capitale, proposant ses services dans toutes les villes et campagnes. Partout où les médecins étaient plus rares, il n'y aurait plus de maître sur son chemin, pour s'attribuer tout le prestige d'une opération et le patronage de tous les cas un peu intéressants. En fuyant l'influence de sa guilde, il allait pouvoir confronter sans frein toutes ses visions les plus prophétiques avec la réalité mortelle du corps humain. Bientôt, il ressentit le besoin de prendre encore plus de distance, d'étendre toujours plus son rayon d'action, jusqu'à s'affranchir des frontières, morales ou géographiques... 

    Un jour il se dit que le meilleur moyen d'accumuler les patients serait encore d'aller chercher le mal partout où il sévissait le plus ardemment. Et ce fut donc exactement ce qu'il fit. Ces vingt-deux  dernières années, il les passa à poursuivre la misère sous toutes ses formes, talonnant de près toutes les famines, toutes les épidémies, toutes les guerres, en sachant parfaitement que les trois événements sont depuis toujours immanquablement liés. Ainsi donc, en se frottant jour après jour aux pires horreurs de la nature, du corps et de l'âme humaine, il a progressivement mis au point ses propres méthodes médicales, totalement empiriques, étudiant le développement des maladies et les propriétés curatives des plantes, autant que des manières plus barbares et directes, notamment dans la façon de traiter certaines blessures et infections. À force surtout de suivre les soldats et de hanter les campements les lendemains de bataille, il en est venu à se spécialiser avant tout en chirurgie, capable de pratiquer amputations et trépanations à la chaîne, sans même sourciller, et jusque dans les pires conditions d'hygiène ou de sécurité...

    Aujourd'hui à quarante-neuf ans, alors qu'il traîne près de la frontière de Durdinis depuis la fin de la guerre avec les Thoréens, il peut décemment prétendre avoir vu et visité plus de pays que la plupart des marins, avoir vu et senti mourir entre ses mains plus de pauvres gens que la plupart des militaires, et peut-être aussi avoir sauvé plus de vies que beaucoup de ses confrères... Mais puisque son sacerdoce est sans fin, son périple continue.


    Compétences



  • Science (Chirurgie) - Niveau 3

  • Science (Médecine) - Niveau 3

  • Science (Botanique) - Niveau 2

  • Science (Chimie) - Niveau 1

  • Érudition (Géographie) - Niveau 1

  • Intimidation - Niveau 1

  • Survie - Niveau 1

  • Sport (Equitation) - Niveau 1


  • Derrière l'écran


    Êtes-vous majeur ? Hélas.
    Avez-vous lu le règlement ? VALIDE
    Comment-êtes vous arrivé sur Les Serments d'Eurate ? Bouche à oreille électronique.
    Une suggestion ? Non pas, Monseigneur.
    Ce personnage est-il un DC ? Si oui, de qui ? Que non.




    Re: Simon Lazaret ─ Sam 13 Avr - 16:43
    Chroniqueur Impérial
      Chroniqueur Impérial

      Réputation  - 13.04.2019



    • LA CAPITALE EVALON : PERSONNALITÉ LOCALE



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    • DUCHÉ DE LA CROIX DES ESPINES


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    • ÎLE DE NACRE : INFIDÈLE


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    • HORS FRONTIÈRES


    • Territoire Thoréen:.... ■ - ■ - ■ - ■ - - ■ - ■ - ■ - ■... 0000/1999 pts

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      Royaume d'Azelan:.... ■ - ■ - ■ - ■ - - ■ - ■ - ■ - ■... 0000/1999 pts

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