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Lina Ronçard
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Lina Ronçard ─ Dim 29 Oct - 15:13
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    RONÇARD Lina
    "Qui s’y frotte, s’y pique."

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    ■ Son âge : 25 ans
    ■ Lieu d'origine : Cyrés
    ■ Son rang : Citoyen
    ■ Son métier : Mercenaire- Chasseuse de prime

    Son caractère

    Je vais parler franchement, je n’ai pas un caractère facile. Ce n’est pas comme si j’avais d’autres choix en ayant grandi, et évoluant toujours, au milieu d’hommes pas vraiment du genre commode, si vous voyez ce que je veux dire.

    Je suis franche et plutôt directe, tourner autour du pot cent sept ans pour dire “merde” n’est pas dans mes habitudes. De la même façon, je ne suis nullement le genre de femme à se laisser marcher sur les pieds. Je respecte la hiérarchie, mon seigneur, mon père, le reste, je m’en fiche totalement. Pour moi, nous, pauvres roturiers illettrés sommes tous sur le même point d’égalité, par conséquent, n’est pas né celui qui me fera plier à sa volonté.

    La patience ne fait pas non plus partie de mes qualités (si, si j’en ai, je vous jure), du moins avec les gens. Je déteste rester sans rien faire, je ne supporte pas les idiots à qui il faut expliquer mainte fois la même chose, non ça, ça me rend folle. Oui, je suis irascible au possible.

    En revanche, lorsque je travaille, c’est autre chose, la patience étant essentielle. Ne pouvant me permettre d’agir sans réfléchir, je sais prendre le temps d’observer et de considérer la situation. Non mais franchement, vous m’avez vu ? Avec une carrure pareille, foncer tête baissée serait de la bêtise pure et simple. Et bête, je ne le suis pas. Je suis aussi discrète et sais me faire passer pour ce que je ne suis pas, au besoin.

    Bon, à première vue, l’on ne peut pas me juger sympathique. Normal, j’en joue. Si je parais comme une petite chose fragile et adorable, s’en serait fini de moi. Néanmoins, ce n’est qu’une façade, pour le public. Je sais me montrer douce et agréable, voir même drôle. Je ris plutôt facilement, enfin, si mon interlocuteur a de l’esprit. L’humour graveleux n’est pas à mon goût, bien au contraire, il m’agace.

    Romantique ? Moi ? Pas du tout, mais je ne suis pas pour autant une fille facile. Loin de là. À force de côtoyer ces messieurs, je suis habituée à leur “technique de séduction” et cela ne m’atteint nullement, voyez-vous. Je n’aspire pas à ce genre de chose, que ce soit clair. L’amour charnel ou romantique, ce n’est pas pour moi, je laisse ça aux autres. Mon objectif est simple, vivre ma vie pour moi et de la façon où je l’entends. Point.

    Vous me trouvez égoïste ? Vous avez probablement raison, je ne suis pas dotée d’une âme noble ou charitable. Bon, d’accord, je ne vais pas laisser quelqu’un se faire massacrer sous mes yeux sans broncher, du moins s’il n’est pas en tort, et si l’on ne m’a payé pour mettre un terme à son existence. Néanmoins, faire la charité n’est pas dans ma nature.

    L’on me dit manipulatrice, un vilain mot que je n’apprécie pas vraiment, d’autant que ce n’est pas vraiment le cas. Il est vrai que je sais me montrer persuasive. J’ai quelques atouts dans ma manche et sais parfaitement m’en servir, c’est tout. Je suis quelqu’un de déterminé, donc je ferai tout, mais pas n’importe quoi, pour atteindre l’objectif que je me suis fixée.

    J’aime me retrouver seule, c’est même un besoin vital. En étant constamment entouré, j’éprouve régulièrement le désir de m’éloigner. J’aime donc les endroits calmes et naturel, me promener dans les bois ou encore en bord de mer, du moment où les humains ne s’y trouvent pas.


    Son physique

    Petite, ma mère m’appelait “petite fleur”. Quelle idée horripilante… Si je devais accepter la comparaison, je choisirai plutôt la rose, car “qui s’y frotte s’y pique”. Je ne vais pas jouer les idiotes en abusant de fausses modesties. J’ai des yeux et ils fonctionnent très bien, je suis jolie du moins d’après les critères de la société et de ces messieurs. Mes traits sont fins et délicats, un peu trop à mon goût cela-dit, mais je fais avec, d’autant qu’ils me sont parfois utiles.

    Je porte les cheveux longs, pas bien pratiques ainsi, je le conçois, mais c’est nettement plus féminin. Et bien oui, malgré mon métier et mon train de vie, je n’oublie pas ma nature, je suis une femme avant tout. Ils sont donc longs, noirs et fins, comme ceux de mon père dans sa jeunesse.

    Je tiens, en revanche, mes yeux noisette de ma mère. Ils n’ont rien de bien particulier, légèrement en amande, mes cils ne sont pas plus longs que la moyenne, mais l’important, comme je l’ai dit plus tôt, c’est qu’ils me permettent d’y voir clair.

    Niveau taille, je ne risque pas de me prendre une branche d’arbre dans la figure. Je ne mesure guère plus d’un mètre soixante, peut-être moins, je ne sais pas. Mes pieds touchent le sol, c’est juste ce qu’il me faut. Et même si je dois relever la tête pour m’adresser au reste du monde, je m’en fiche totalement. Cela ne m’empêche pas de dire ce que je pense et d’affirmer mes convictions.

    Quant à ma corpulence… Bah j’ai des formes suffisamment féminine sans être handicapantes pour me mouvoir ou pour remplir mes robes. Ni plus, ni moins. Je possède également les muscles nécessaires sans qu’ils me fassent ressembler à un homme en jupette… Il ne manquerait plus que ça…

    Je me tiens droite, marche la tête haute, un port tout à fait militaire. Après tout, c’est ainsi que je fus élevée, mon père ne rigolait pas avec ma posture.

    Ma voix ? L’on me l'a décrite comme plutôt douce, ce qui ne m’arrange pas. Donc je m’efforce de la rendre plus dure en jouant de mes regards. Sinon l’on ne me prendrait pas au sérieux et je me verrai dans l’obligation d’asséné quelques coups bien placés.


    Son histoire

    Je suis née et j’ai grandi sur l’île de Cyrès, située au nord de l’archipel d’Uzé. Fille unique d’Elder Ronçard, maître d’armes au service du baron de Haute-Lune, et de Charlyne Carmin, couturière prisée du village. Notre maison se trouvait non loin du château où mon père passait la majeure partie de ses journées, auprès du jeune maître. Je m’y rendais souvent afin d’assister aux entraînements sans jamais y être mêlée, ce qui, je dois l’avouer n’a fait qu’éveiller en moi une sorte de sentiment de jalousie envers ce jeune homme. Autant dire que je ne l’aimais pas, il s’accaparait mon père sans vergogne et celui-ci semblait en plus extrêmement fier du jeune maître. Il parlait sans cesse du jeune Audace, de son intelligence, de son sens de l’observation inné en particulier pour un garçon de son âge. D’accord, d’accord, c’était son travail de former le noble mioche, mais j’étais enfant, fille unique et routière égocentrique au possible. Comment ça, je le suis toujours ?

    Enfin bref, à six ans, je suppliais mon père de m’enseigner le maniement des armes. Supplier... C'est un grand et joli mot, pour exprimer le fait d’enchaîner les caprices jusqu’à ce que le paternel cède. Je voulais pourtant, simplement le rendre fier, moi aussi, lui montrer ce que je valais quoi. Et malgré les protestations de ma chère mère, il finit par accepter.

    Oh, j’étais loin d’être douée, je me montrais lente, particulièrement maladroite, et surtout impatiente. Je voulais égaler le jeune maître, non, me montrer plus forte que lui et ce peu importe qu’il soit plus âgé et expérimenté que moi. De ce fait, j’enrageais simplement à chaque échec jusqu’à ce que je comprenne que mon comportement ne m’aiderait certainement à progresser, et j’y ai mis le temps. Le seigneur en miniature se montrait toujours calme et concentré, lui, alors autant l’imiter. Ainsi, je passai mes journées à m'entraîner avec mes cousins, ou plutôt sur eux, bien que j’aurai dû me trouver au village, avec ma mère afin d’apprendre le métier qu’elle m’avait choisit, à savoir : le sien. Mais que voulez-vous, ce n’était pas à mon goût, préférant, et de loin, les épées aux aiguilles. Et être enfermée dans un atelier devant un panel de tissus et de fils multicolore… Très peu pour moi, plutôt crever.

    De ce fait, mes relations avec Charlyne n’ont jamais été très bonnes, et cela ne s’est guère arrangé avec le temps. Quelle déception pour elle de voir sa jolie petite fleur se comporter ainsi. Elle me voulait douce et docile, alors qu'évidemment, il se trouvait que j’étais tout l’inverse. En bon garçon manqué, je partageais mon temps entre entraînement et crapahutages dans les bois, ou encore à sauter sur les rochers du bord de mer. Seulement, Cyrès étant une île, j’en fis rapidement le tour, et très vite, elle fut bien trop petite pour moi. Alors à seize ans, je décidais de la quitter.

    Évidemment, la nouvelle ne fut pas très bien prise par ma mère, me jugeant trop jeune pour partir à l’aventure, seule qui plus est. En un sens, voir même plusieurs, elle avait raison. Sauf qu’en bonne gamine aussi capricieuse qu’égoïste, je ne m’en rendais pas compte. Oh que de crises d’hystérie pour Charlyne, voir sa seule et unique fille partir loin de ce nid recouvert d’orties. Quel sacrilège ! Elle aurait tout fait pour m’empêcher de partir, jusqu’à m’enfermer dans la cave durant une journée entière. Ce fut mon père qui m’en délivra le soir en rentrant, et du, ensuite, m’empêcher de tuer sa folle de femme. Je quittai la maison cette nuit-là, mon baluchon sous le bras pour rejoindre le premier bateau en partance pour le continent. Du moins, c’était mon intention, néanmoins, c’était sans compter sur mon père et sa droiture légendaire. Il fallait faire les choses “convenablement”, pour pas que sa fille chérie ne soit considérée comme hors-la-loi. Je passais donc la nuit dans une auberge, avant de me pointer le lendemain au château, afin de déclarer mon départ. Nous y croisâmes le jeune héritier et sa soeur. Je les saluait convenablement, car malgré l’animosité que m’inspirait le jeune homme, je savais me tenir. Et puis, loin de moi l’idée de vouloir attirer des ennuis à mon père. L’héritier avait gagné, sans le savoir, puisque cette rivalité malsaine n’avait toujours été qu’à sens unique. Celui-ci ne devait même pas se soucier de mon existence...Je lui cédait donc mon père, au profit d’un avenir incertain.

    Je pus ensuite me rendre au port afin d’y dénicher un navire. C’est grâce aux arguments de mon père que le capitaine du “Mandragore” accepta de me laisser monter. Un coup de malchance, Bärn me connaissait. Suis-je si insupportable que ça ? Enfin, bref, passons.

    L’on pourrait croire qu’une fille née sur une île ne pouvait être qu’attirée par la mer, or ce n’était absolument pas le cas. C’est petit un bateau, et même si l’on a toujours des choses à y faire, la promiscuité avec les marins et l’abus de bleu dans toutes ses nuances me furent rapidement insupportable. Bien sûr, mon caractère purement sympathique, et facile à vivre (saisissez l’ironie) me rendait antipathique aux yeux de l’équipage. Ceux-ci furent d’ailleurs aussi heureux que moi de me voir définitivement quitter le navire, lorsque celui-ci appareilla sur la côte ouest de Corduba.

    J’étais enfin sur le continent, tout un tas de possibilités s’offraient à moi, sauf que je n’avais pas un écu en poche, ni aucune idée concrète… Mais bon, débrouillarde comme je l’étais, je n’eu aucun mal à trouver un emploi de serveuse dans une taverne. Ce n’était certes pas ce que j’attendais en quittant mon île et mon foyer, mais ce fut au moins un début. Et puis, sans compter que le propriétaire m’offrait généreusement un toit où dormir. D’accord, il s’agissait d’une vieille dépendance de taille ridicule, froide, humide et pleine de courant d’air... Et je ne parle pas de la toiture qui menaçait de s’écraser sur mon joli minois à chaque coup de vent. Enfin, à cheval donné, l’on ne regarde pas les dents, n’est-ce-pas ?

    En tout cas, c’est en travaillant dans cette taverne, que je fis la rencontre d’un groupe d’hommes particulièrement intéressants. Une compagnie de mercenaire pour être exacte. Leurs récits d’aventures et de voyages avaient de quoi me faire pâlir d’envie, tant et si bien que je manifestais le désir de les rejoindre… Ils se sont bien évidemment moqués de moi, j’avais dix-sept ans, une taille ridicule et des muscles de nourrissons, sans compter mon “minois de princesse”. Une réflexion que je pris assez mal, je dois bien l’avouer, et même si elle venait directement de leur chef, je ne me fis pas prier pour lui asséner un coup-de-poing dans les naseaux. Il en garde encore le souvenir aujourd'hui sous la forme d’une jolie bosse. Ceci fait, Grimm, le fameux chef, et taré notoire y reconnut un certain “courage”, sous prétexte que personne n’avait jamais osé se comporter ainsi envers lui. Ce dont je doutais fortement, vu l’attitude particulièrement agaçante du bonhomme. Mais, il décida tout de même de m’intégrer à la compagnie.

    Ainsi, à nouveau, je pris mon baluchon et quittais mon foyer. Juste à temps d’ailleurs, puisque la toiture de la ruine qui me servait de maison, s’écroula quelques secondes après que j’en eus claqué la porte. Je vis cela comme un signe : il n’y avait pas de retour en arrière possible.

    À partir de là, j’accompagnais les gars à travers tout l’Empire. Je m’entraînais chaque jour afin de combler mon manque d’expérience en ce qui concerne les combats réels. J’avais appris de mon père, maître d’armes honorable, au code de conduite exemplaire. Or, l’enseignement des compagnons était tout autre. Les coups bas avaient tout à fait leur place dans le style qu’ils pratiquaient et s'évertuaient à m’enseigner. Ce ne fut pas une mince affaire, croyez-moi, d’autant que mon caractère n’aidait en rien. Je m'énervais à chaque moquerie, chaque remarque déplacée lorsque je tombais sur le postérieur. Ils n’étaient pas tendres avec moi, et en un sens, ils avaient bien raison. J’avais certes du caractère, mais mis à part ma “grande gueule” je ne valais pas grand chose. Et au final, je ne connaissais rien du travail de mercenaire, ni de quoi il en retournait. Je voulais simplement voyager, découvrir le monde, mais ce n’était qu’un seul revers de la médaille. Je devais apprendre à survivre, à tuer et mes seuls combats s’étaient déroulés contre mon père ou mes cousins et toujours avec une lame émoussée. Je n’avais jamais fait couler de sang et encore moins prit la vie de quelqu’un. Et mes compagnons tentaient tant bien que mal de m’y préparer, à leur façon, quelque peu brutale. Les lames avaient beau être émoussées, les coups quant à eux étaient bien réels, et je ne sortais rarement indemne de ces séances d'entraînement.

    Jusque-là, je n’assistais que de loin aux exécutions de contrat, apprenant en observant de mes compagnons. Je ne réalisais pas, pas encore de ce que signifiait être mercenaire. Ce n’est que lorsque je pris enfin part à l’une de leur mission que je compris. J’avais dix-neuf ans, et je tuais pour la première fois. Je ne me souviens pas du nom de l’homme que j’exécutais, c’était un voleur, un violeur et un assassin. Je n’éprouvais aucune pitié pour lui, mais je me souviendrai à jamais de son regard lorsque le vent de Tamas vint l'emporter. Si tuer fut extrêmement facile, vivre avec cela sur la conscience... C’était une autre paire de manche. Les gars me disaient que le temps effaçait tout, faux, archi faux. Les morts s’entassaient sur ma conscience, si bien qu’ils devinrent rapidement les compagnons de mes nuits cauchemardesques. Malgré tout, je ne regrette rien, cela faisait partie de mon travail, celui que je m'étais moi-même choisis. Néanmoins, je sortis grandi de ces expériences, même si mon caractère de chien ne changeait pas, j’appris à donner une certaine importance à la vie.

    C’est la guerre de Durdini qui marqua un tournant décisif dans ma vie. La compagnie fut appelée à rejoindre les rangs du duché de Néra. Je n’avais jamais vu de champ de bataille avant cela, et j'espère sincèrement ne jamais avoir à y remettre les pieds. Nombre de compagnons périrent sous les assauts des barbares, ne laissant, finalement, qu’une poignée d’entre nous en vie, dont certains dans un état d’infirmité tellement important que plus jamais ils ne pourraient tenir une épée. Pour ma part, je m’en sorti indemne, du moins physiquement, car depuis, je ne passe pas une nuit sans revoir encore et encore la dernière bataille, celle qui signa notre défaite.

    Après cela, de la compagnie, il ne restait que quelques vestiges. Certains la quittèrent pour rejoindre une compagnie plus grande et surtout qui tenait encore debout, d’autre décidèrent de faire cavalier seul. Si bien qu’à la fin, il ne restait que Grimm et moi.

    Dès lors, nous parcourûmes Eurate, avec le vieux chef toujours aussi insupportable, avançant au petit bonheur la chance, à la recherche de contrat nous permettant de survivre et de continuer d’avancer. Nous ne nous entendions toujours pas, lui insistait pour que je rejoigne les miens sur mon île du nord, mais bien que l’idée de revoir mon père et mes cousins me paraissait séduisante, celle de revoir Charlyne l’était beaucoup moins.

    Toutefois, je n’avais aucune nouvelle d’eux depuis mon départ voilà déjà neuf ans. “Que sont-ils tous devenus ?” “Sont-ils simplement en vie ? ”Je me posais tant de questions sur eux… Puis voilà que la peste ajouta son grain de sel indigeste. Grimm et moi, nous étions isolés à la campagne, loin des villes, dans une ferme abandonnée Néraéenne pensant que cela nous mettrait à l’abri de l’épidémie. Mais ce fut une erreur, le vieux mercenaire tomba malade, m'exhortant de l’abandonner à son sort et de rejoindre ma famille.

    J’appris alors que le baron de Haute-Lune, celui-là même que j’avais tant détesté durant mon enfance, et auquel je n’avais plus pensé depuis de nombreuses années, avait créé un camp spécialement pour les pestiférés. Je décidais d’y conduire Grimm. Après tout, malgré son caractère, il est comme un second père pour moi. Nous voilà donc, tous deux sur le navire qui me ramène sur la terre de mes origines. Mon esprit se trouve tiraillé pour la première fois, que vais-je retrouver sur cette île ? Ma famille est-elle seulement encore en vie ?

    L’avenir me le dira...


    Compétences

    Plus d'information ICI
    ■ Arme blanche (épée) - Niveau 3 (12 pts)
    ■ Arme blanche (dagues) - Niveau 2 (6 pts)
    ■ Sport (Escalade) - Niveau 2 (6 pts)
    ■ Sport (Equitation)- Niveau 1 (2 pts)
    ■ Intimidation - Niveau 2 (6 pts)
    ■ Bagarre (combat mains nues) - Niveau 2 (6 pts)
    ■ Persuasion- Niveau 1 (2 pts)
    Derrière l'écran

    ■ Etes-vous majeur ? - OUI
    ■ Avez-vous lu le règlement - "code validé Courage"
    ■ Comment-êtes vous arrivé sur Les Serments d'Eurate ? - J’ai vu de la lumière...
    ■ Une suggestions ? - Votre réponse
    ■ Ce personnage est-il un DC, et si oui de qui ? - Un DC non, mais je connais la maison.


    Re: Lina Ronçard ─ Dim 29 Oct - 15:52
    Courage de Nera
      Courage de Nera
      Duc
      Coucou demoiselle,

      Sois la bienvenue chez nous. Bien-sûr n'hésite pas le harcèlement du mp de chroniqueur si tu as des questions. ^^

      *Fuit avant de ce faire tuer par le Chroniqueur.*
      Re: Lina Ronçard ─ Dim 29 Oct - 15:57
      Anonymous
        Invité
        Invité
        Chiche Wink

        Merci cher duC pour cet accueil accueillant, c'est vraiment agréable de se sentir accueillis *sifflote*
        Re: Lina Ronçard ─ Dim 29 Oct - 15:59
        Audace Haute-Lune
          Audace Haute-Lune
          Comte
          Coucou à toi Smile

          Quelqu'un d'intéressée par mon petit îlot exilé au bout du monde *sautille de joie*
          Re: Lina Ronçard ─ Dim 29 Oct - 17:00
          Anonymous
            Invité
            Invité
            Bienvenue, mademoiselle ! =D
            Re: Lina Ronçard ─ Dim 29 Oct - 21:55
            Anonymous
              Invité
              Invité
              Bienvenue, jeune ronce !
              Re: Lina Ronçard ─ Mar 31 Oct - 12:17
              Anonymous
                Invité
                Invité
                Fiche Terminée.
                Re: Lina Ronçard ─ Mar 31 Oct - 19:30
                Chroniqueur Impérial
                  Chroniqueur Impérial
                  Félicitations !
                  Te voila validé, tu peux dès à présent :

                  ■ Te créer un Carnet D'aventure
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                  Re: Lina Ronçard ─
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