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Héléna de Baros
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Héléna de Baros ─ Ven 16 Fév - 22:56
Anonymous
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    Héléna de Baros


    “De noble plante, noble fruit.”




    24 ans
    Originaire de Comté de Baros
    Vassalité : Duché de Néra
    Statut social : Seigneur
    Son métier : Comtesse



    Caractère


    L'un de mes principaux traits de caractère est la loyauté indéfectible que je voue tant à mon rang qu'à ma famille et à mes amis. Élevée dans le respect des traditions, héritière d'un nom noble et ancien de l'Empire, j'entends bien perpétuer les valeurs familiales jusqu'à ma mort et au-delà.
    Désireuse de bien servir le peuple, je tâche de ne pas fermer les yeux sur des actions que je juge cruelles ou inappropriées. Non, mon cœur n'est pas aveugle, même s'il est vrai que les responsabilités m'ont rendue plus dure que je l'eusse souhaité. Cela a contribué d'ailleurs à émousser la relation que j'entretenais avec ma sœur Eugénie depuis notre enfance. Notre grande complicité a laissé la place à une affection toujours sincère mais ternie par nos divergences d'opinion. Eugénie souhaiterait en effet que je sois plus charitable, or j'estime l'être suffisamment au vu des circonstances. C'est qu'Eugénie s'est toujours montrée trop encline à faire le bonheur des autres au détriment du sien et de celui de sa famille. Une chance qu'elle ne soit pas comtesse et ne doive pas gérer les terres léguées par Père ! Je ne comprends toujours pas comment elle n'a pas été emportée par l'épidémie tant il nous fut difficile de la tenir à l'écart des hospices et des malades.

    D'ailleurs parlons-en, de cette épidémie. Lorsque j'avais seize ans, j'ai perdu mes deux frères aînés et me suis retrouvée en position d'héritière du comté. Je suis toutefois parvenue à surmonter ma peine sans en être vraiment changée. L'épidémie de peste qui a ravagé l'Empire cet hiver de l'an 1247 a par contre réussi là où la malaria a échoué : les quelques proches qu'il me reste ne m'ont pas vue sourire une seule fois depuis la mort d'Eusèbe, mon petit frère alors âgé d'à peine huit ans. Malgré l'amertume, je suis convaincue qu'il s'agit d'une mise à l'épreuve divine quant à ma capacité à garder les rênes du comté. Et il se trouve justement que je suis bien décidée à montrer à tous que le nom des de Baros n'est pas que celui d'une vieille famille. Bien que diminués, nous nous montrerons dignes de nos ancêtres et ne nous laisserons pas abattre par le destin.
    Je suis déterminée, dans ce but, à épouser bientôt le prétendant que mes parents m'avaient choisi avant que les choses se mettent à mal tourner dans l'Empire. L'élu de mes parents a également survécu à l'épidémie et a, je pense, autant besoin que moi d'aller de l'avant. Il faudrait que je relance les négociations au plus vite mais la peur d'enfanter me tenaille le ventre et m'empêche de faire le premier pas. À quoi bon me marier et avoir des enfants que la vie risque de me reprendre à tout instant, comme ce fut le cas pour Mère ? Ah, oui... Je dois donneur un héritier au comté de Baros.

    Ayez bien conscience que ce que je viens de vous dire constitue juste l'opinion que je me fais de moi-même. En fait, si je peux me permettre, je ne crois pas que quiconque connaisse réellement le caractère de la comtesse de Baros. Car qui, si ce n'est peut-être Eugénie, s'est déjà inquiété de savoir ce qu'elle pense vraiment ?
    Les barons qui dépendent de moi me voient comme une femme juste, peut-être encore un peu trop jeune, qui prend des décisions difficiles quand elles s'avèrent nécessaires. Ils me suivent sans trop poser de questions car finalement ma manière de diriger mes terres dépend en grande partie de notre collaboration à tous.
    Le duc de Néra, à qui je dois allégeance, sait qu'il peut compter sur ma loyauté. Jusqu'à la mort de Père, il savait aussi que ce dernier n'était jamais très loin et qu'il n'avait donc pas à s'inquiéter de la bonne gestion des terres. Désormais, il devra composer avec une comtesse libérée de l'opinion paternelle et plus morose qu'autrefois.
    Le peuple n'a pas vraiment d'opinion à mon sujet, je pense. Il est plus critique envers les barons, qu'il connaît mieux. Peut-être rejette-il ses problèmes sur mon dos, peut-être a-t-il pitié de moi... Après tout, ma famille a été assez décimée pour que je partage au moins cela avec lui. Grâce ou à cause des dieux, il sait que les nobles ne sont pas plus épargnés par la mort que leurs sujets.
    Ma famille, enfin, a conscience que j'occupe honorablement le rang légué par Père. Si elle conteste encore mon autorité, c'est plus par principe vis-à-vis de mon jeune âge que sur base de réelles motivations. Et puis en ce moment, nous avons tous besoin de nous serrer les coudes pour faire revivre nos terres.


    Physique


    D'après ce qu'on me dit depuis que je suis toute petite, j'ai hérité de la beauté de Mère. Dans nos contrées, les gens ont une carnation claire, des cheveux clairs et des yeux clairs : lorsqu'on me voit, on ne doute pas de ma provenance et de ma légitimité.
    J'ai la chance d'être de taille moyenne et d'avoir de belles courbes, bien que je sois un peu trop maigre depuis quelques mois, la faute aux événements récents qui ont touché l'Empire. Ma longue chevelure toute en courbes dorées, tranchant sur ma peau pâle, fait l'admiration de bien des hommes. Un poète de la cour a même déjà chanté mes charmes, ce qui bien sûr n'est pas pour me déplaire, même si j'ai conscience que ma position avantageuse n'y est pas pour rien ; un poète avisé est un poète qui loue publiquement les atouts de son seigneur.

    Notez en tout cas que je connais le pouvoir que j'ai sur les hommes et que je n'hésite pas à en jouer. Une dame de mon lignage n'a pas appris qu'à broder, lire, chanter ou, dans mon cas, gérer un domaine. Avant d'être héritière du comté, j'étais avant tout destinée à faire un grand mariage pour le renom de ma famille. Or pour trouver un bon parti, il faut savoir se mettre en avant. Mon port de tête altier et mes mouvements gracieux sont les conséquences naturelles de mon éducation.
    Je possède des jambes assez bien dessinées, en tout plus que ne le sont celles de ma sœur, car je pratique régulièrement l'équitation et j'aime visiter les chenils de la propriété lorsque j'en ai l'occasion. J'emmène souvent avec moi mes chiens favoris pour faire le tour des vignes lors de mes promenades et mes tournées d'inspection. Eugénie préfère rester agenouillée pour prier, veiller le chevet d'un malade ou simplement pour tenir compagnie à Mère. Elle se complaît dans une oisiveté que moi-même j'abhorre. Je ne comprendrai jamais cela. Cela me suffit de devoir rester immobile des heures durant pour parader devant mes pairs, pas la peine de le faire aussi lorsque j'ai du temps libre.

    J'ai toutefois un signe particulier qui me fait honte et dont seules Mère et Eugénie ont connaissance. Je doute que quelqu'un d'autre ait l'occasion de le découvrir mais c'est si disgracieux que je préfère éviter que cela s'ébruite : les orteils de chacun de mes pieds ne sont pas parfaitement découpés. Le gros orteil est certes bien dessiné, mais le secundus et le tertius sont accolés jusqu'à la deuxième phalange, et il en va de même pour le quartus et le petit orteil. Si cela ne constitue ni un handicap ni un problème de santé, je ne puis m'empêcher de détourner les yeux lorsque je suis pieds nus et je ne supporte pas qu'on les touche sans mon autorisation, ce qui bien sûr ne risque pas de se produire souvent.


    Histoire


    Je suis née au printemps de l’an 1225 dans la belle ville d’Andales, capitale du comté de Baros. À cette époque, notre charmante contrée se portait on ne peut mieux ; les récoltes étaient généreuses, l’économie en plein essor et les naissances se multipliaient dans toutes les couches de la population. J’étais moi-même la troisième enfant du couple comtal. Mes frères, Hubert et Henri, n’étaient mes aînés respectivement que de trois et un ans.
    Dans les années qui suivirent, Mère fit plusieurs fausses couches. Père en souffrit certes moins qu’elle, s’estimant déjà chanceux d’avoir eu deux fils et une fille, mais il éprouva tout de même un grand soulagement lorsque son épouse parvint finalement à mener une quatrième grossesse jusqu’à son terme. La petite Eugénie était née et la fratrie s'en trouvait encore agrandie.
     
    Évidemment, je ne vécus pas les événements comme je viens de vous les résumer. Ma vie se résumait alors aux petits tracas et aux joies de l’enfance. Nous étions toujours nourris à notre faim et n’avions aucun problème matériel, la vie s’écoulant assez tranquillement dans le comté. Mon père n’était pas souvent là, plus occupé à administrer ses terres et à veiller sur les récoltes qu’à jouer avec sa progéniture, mais il ne nous manquait pas. Quant à ma mère, c’est elle qui nous instruisait. Elle réservait une attention particulière à Eugénie et à moi-même car nous nous devions d’apprendre les bonnes manières et à nous comporter selon notre rang. Les garçons pendant ce temps apprenaient tout ce qu’un bon noble doit savoir : la politique, la guerre et bien sûr, à Baros, la vigne.
     
    Nous n’avions jamais connu rien d’autre et ce que nous avions nous comblait largement.
    ***

    C’est autour de mes seize ans que ma vie changea brutalement.

    J’avais mené jusque-là une existence douce et confortable, entourée d’êtres chers et d’une ribambelle de domestiques attentifs au moindre de mes désirs. Je ne pense pas avoir jamais été une peste à leur égard, comme l’était ma cousine Ermeline. Mais peut-être parce que j'étais habituée à tout recevoir sur un plateau, je n’étais pas non plus un exemple de bonté. Ma sœur Eugénie, contrairement à moi, était d'une générosité sans borne. J’éprouvais une pointe de jalousie chaque fois que le regard attendri de Mère se tournait vers elle, convaincue qu’elle était sa favorite. C'est que vous pouviez lui faire subir les pires tourments, la bonne petite Eugénie ne vous en voulait jamais. Comme je l'aimais, ma chère sœur !
    J’étais en revanche moins proche de mes frères. Ils étaient tous deux très sérieux et avaient à cœur les valeurs de Père. Hubert avait alors dix-neuf ans et était destiné à devenir le chef de notre famille. Sérieux et droit comme il l'était, il ferait un bon comte de Baros. Henri, passionné par la viticulture, serait d’une aide appréciable à notre aîné, d’autant qu’au lieu d’entretenir une rivalité malsaine, ils s’entendaient tous deux comme larrons en foire.
     
    Mais voilà, la chance finit par tourner. En l'an 1240, mes frères et Père étaient partis faire le tour du duché. Pour qui connaît l'histoire et s'en souvient, cette année fut marquée par une épidémie de malaria. Or mon père et mes frères avaient séjourné dans la région du Delta du Pô, connue pour ses rizières mais aussi pour ses zones marécageuses. Et qui dit marécages dit moustiques. Hubert et Henri furent tous deux saisis de violentes fièvres dans les jours qui suivirent leur départ de cette région. D'autres cas s'étaient déclarés et rapidement tout l'est de l'Empire fut contaminé. Les deux héritiers mâles direct du comté de Baros furent consumés par la maladie et, trop affaiblis pour accomplir le chemin du retour, ils s'éteignirent loin de leur foyer. Mère pleura tous les jours à partir du moment où nous reçûmes la lettre de Père. Ses larmes ne se tarirent qu'à la vue des corps déjà fanés de ses fils rejoignant les tombeaux de nos ancêtres. Dès ce jour, elle cessa de pleurer et nous n'osâmes plus prononcer leurs noms, de peur d'éveiller en elle des souvenirs douloureux.
    Quant à ma vie confortable de jeune fille destinée à faire un mariage idéal pour la gloire de son honorable lignée, elle se vit considérablement bouleversée puisque la disparition de mes frères avait fait de moi l'héritière directe du titre de mon père. Je n'étais pas sotte et je sus m'adapter à la situation, me pliant docilement à mon nouveau rôle. Eugénie dut également se mettre en tête qu'elle ne pourrait pas rejoindre les ordres comme elle avait envisagé de le faire car c'était elle désormais qui devrait faire un beau mariage pour consolider nos liens avec d'autres familles. J'étais moi-même devenue indispensable à la gestion du comté et on comptait bien sûr sur moi pour me marier et avoir un héritier.
    Un autre événement intervint dans notre vie quelques mois plus tard, qui eût été plus heureux dans d'autres circonstances puisqu'il n'était plus attendu : la naissance de mon frère Eusèbe. Alors que j'étais née sous des auspices favorables, lui-même voyait le jour au plus mauvais moment. Chétif et mal nourri en raison des mauvaises récoltes qui minaient les réserves de tout le duché, nous nous attendions chaque jour à le voir rendre l'âme Il grandit pourtant, condamné à garder une constitution faible mais doté d'une intelligence vive et d'une bonne humeur quasi permanente.
    Eusèbe fut ma bouée de sauvetage. Chaque fois que je me sentais dépassée par ma condition ou les tracas quotidiens, je le regardais me sourire et je me surprenais soudain à rire avec lui.
    ***

    Le temps passa, la peine aussi, et des jours meilleurs vinrent.
    J'avais vingt ans lorsque mon père me laissa les rênes du comté. D'aucuns dirent que j'étais trop jeune et que j'aurais déjà dû être mariée. Les autres savaient qu'il n'avait pas vraiment eu le choix : il était las et son esprit lui jouait de plus en plus souvent des tours. Il avait aussi contracté la malaria des années auparavant mais avait survécu. Sa santé en avait toutefois été affectée et il doutait désormais de tout, incapable de prendre des décisions.
    Le choix qu'il fit de se retirer fut pourtant bénéfique à tout le comté. Ma jeunesse et ma fraîcheur ne gâtaient pas mes dons de persuasion et je me montrai assez lucide dans la gestion quotidienne des affaires pour gagner le respect de mon entourage. Le fait de pouvoir compter sur les conseils encore avisés de mon père n'y fut bien sûr pas étranger.
    Enfin, cela faisait déjà trois ans et je m'étais presque habituée à mon rôle, je me préparais même à enfin me marier, lorsqu'un nouveau fléau ravagea les terres de l'Empire, au début de l'hiver de l'an 1247. Vous savez très bien de quoi je parle... Non ? Vraiment ?
    ... Eh bien, la peste, enfin ! Cette maladie maudite qui me ravit l'être le plus cher, mon merveilleux petit Eusebio ! Eusèbe, toujours rieur malgré ses quintes de toux, innocemment satisfait de nous avoir joué un tour en se cachant dans le jardin au mépris du vent d'hiver. Eusèbe, qui se serrait contre moi la nuit après avoir fait un cauchemar. Eusèbe, aussi doux qu'Eugénie, qu'il s'ingéniait à imiter jusqu'à lui voler ses bijoux pour lui ressembler encore davantage. Ils se ressemblaient tant, tous les deux...

    Le corps d'Eusèbe fut brûlé, pour éviter que la maladie se propageât. Je n'ai même pas la consolation de savoir son petit corps maigrichon reposant aux côtés de ceux des frères qu'il n'a jamais connus. Nous avons juste gravé son nom sur une pierre tombale, qui pourrait aussi bien être un stupide caillou vu qu'elle n'abrite l'âme de personne.
    Père mourut quelques semaines plus tard.
    Son nom est à son tour parti rejoindre ceux de nos ancêtres. Il est désormais feu Hubert Louis de Baros, père de Hubert, Henri et Eusèbe de Baros. Ces quatre-là laissent derrière eux Alicia de Baros, épouse de feu Henri Louis de Baros et comtesse douairière, Héléna de Baros, comtesse, et Eugénie de Baros, héritière (provisoire) du comté de Baros (celle-ci n'est clairement pas faite pour devenir seigneur d'un comté).

    Je suis désormais aux prises avec un comté ravagé, où la maladie a tout juste cessé de faire des victimes. Mais je sais que je peux y arriver, je ne suis plus une novice et le monde a tant changé que ma jeunesse ne compte plus comme une tare aux yeux de mes pairs. Cette jeunesse et une bonne santé m'ont d'ailleurs donné la force de résister aux malheurs.
    On ne peut pas en dire autant de ma mère, hélas, qui est devenue à moitié folle et ne passe plus ses journées qu'enfermées à l'intérieur de la demeure familiale, brodant et se piquant les doigts chaque fois que ses mains se mettent à trembler.
    Eugénie, fidèle à elle-même, essaie de se rendre utile en aidant les miséreux. Je pense que ça l'aide à oublier son chagrin. Je compte bien la marier au plus vite. J'ai bon espoir de l'unir à l'héritier du duché de Néra, pourquoi pas ? Non seulement cela redorerait le blason de notre vieille lignée, mais en plus cela lui assurerait un avenir meilleur.
    Enfin, je dois penser à l'avenir du comté. Si je meurs, il lui faut un digne héritier. Eugénie est incapable de tenir ce rang, naïve comme elle est, et ça la rendrait malheureuse. J'ai bien des cousins et cousines qui lorgneraient ce rang s'ils n'étaient aussi occupés que moi à panser leurs blessures. Et de toute façon il est hors de question que le titre passe entre les mains d'une branche secondaire de la famille ! Je dois donc, moi aussi, me marier. Mes parents avaient déjà entamé les négociations avec une famille noble mais elles n'ont pas encore abouti, la guerre provoquée par les faits de la grande fête de Valsalace et l'épidémie les ayant interrompues.


    Compétences



  • Etiquette - Niveau 3

  • Politique - Niveau 2

  • Artisanat (Vignoble) - Niveau 2

  • Persuasion - Niveau 2

  • Intimidation - Niveau 1

  • Erudition (histoire) - Niveau 1

  • Erudition (musique) - Niveau 1

  • Sport (équitation) - Niveau 1

  • Animaux (chiens) - Niveau 1


  • Derrière l'écran



    Êtes-vous majeur ? Et oui !
    Avez-vous lu le règlement ?Code bon, Courage.
    Comment-êtes vous arrivé sur Les Serments d'Eurate ? Via votre partenariat avec Azzura
    Une suggestion ? Beuh... non, pas encore !
    Ce personage est-il un DC ? Non non.




    Re: Héléna de Baros ─ Sam 17 Fév - 9:09
    Anonymous
      Invité
      Invité
      Bienvenue parmi nous !

      Personne fort intéressant à première vu Smile
      Re: Héléna de Baros ─ Sam 17 Fév - 9:18
      Courage de Nera
        Courage de Nera
        Duc
        Bienvenue sur Eurate,

        Début de fiche bien intéressante.
        J'ai hâte de voir la suite.

        Amicalement, Courage.
        Re: Héléna de Baros ─ Sam 17 Fév - 17:04
        Anonymous
          Invité
          Invité
          Merciiiiiii !!!

          Je viens juste de finir, j'espère que je n'en ai ni trop fait ni pas assez !
          De toute façon si on juge que je dois adapter des choses, je n'ai aucun problème avec ça. Smile
          Re: Héléna de Baros ─ Sam 17 Fév - 17:19
          Kira de Casteldragon
            Kira de Casteldragon
            Comtesse
            Bienvenue Héléna! ^^
            En espérant pouvoir RP avec toi (quand j'en aurais moins en cours XD) et puis surtout que tu te plaise ici. Hésite pas à demander de l'aide si tu trouve pas de compagnon d'écriture pour démarrer!
            Re: Héléna de Baros ─ Dim 18 Fév - 8:21
            Chroniqueur Impérial
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              Re: Héléna de Baros ─
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