Le Deal du moment :
Réassort du coffret Pokémon 151 ...
Voir le deal


Alixane de Valbruine
NouveauRépondre


Alixane de Valbruine ─ Mer 4 Avr - 13:38
Anonymous
    Invité
    Invité

    Alixane de Valbruine


    “Mon cœur est dans les montagnes”



    27 ans
    Originaire de Château de Valbruine, comté de Mont Dragon
    Vassalité : Volg
    Statut social : Seigneur
    Son métier : Baronne


    Caractère


    La première impression que donne la jeune femme est rarement très positive. Froide, distante, vous diront ceux qui ne la connaissent guère. Il est vrai qu'elle ne semble pas particulièrement sociable, emmurée dans un silence pensif, laissant rarement échapper deux mots lorsqu'un seul est nécessaire, et se gardant bien d'ouvrir la bouche si un regard suffit.
    La réalité est cependant plus complexe. Alixane est de ces gens qui préfèrent l'écoute à la parole. Sachant combien les mots sont précieux et puissants, elle préfère les choisir avec soin et ne pas les gaspiller. Cette attitude, couplée à une profonde empathie, font en réalité d'elle une excellente confidente, d'autant que derrière ses lèvres les secrets sont bien gardés. Son profond sens de l'honneur et de la loyauté l'empêcheraient sans doute de trahir un secret même si sa vie en dépendait. Élevée dans de strictes valeurs, elle s'efforce de les mettre en pratique au quotidien.


    Son silence cache cependant d'autres aspects de sa personnalité, le moindre n'étant pas un profond manque de confiance en elle et en ses capacités, qui mine parfois ses décisions. Troisième née, avec plusieurs neveux placés avant elle sur la liste de succession, rien au monde ne la prédestinait à hériter du titre de son père. Contrairement à ses aînés, elle n'a pas été élevée pour diriger, et elle ignore tout de la politique. Elle reste persuadée que son frère ou sa sœur aînés s'en seraient bien mieux tirés, et au fond, elle ne peut se défaire de l'idée qu'elle usurpe leur place, qu'elle n'est pas à la hauteur. Du reste, les nombreux deuils qu'elle a vécu l'ont profondément ébranlée, bien plus qu'elle n'ose l'avouer.
    Malgré tout, le profond sens des responsabilités qu'on lui a inculqué dès l'enfance l'empêche de reculer. Pas question d'abandonner sa terre, son peuple et ce qui reste de sa famille.


    Il faut dire que même en tant que benjamine, elle n'a jamais été réellement insouciante. Difficile de l'être lorsqu'on vit à la frontière Khöze, luttant contre les raids incessants, subissant l'austère climat des montagnes. Formée aux armes dès son plus jeune âge, elle connaissait les combats bien avant que vienne la guerre, et les épreuves l'ont forgée très tôt. Sous son apparence calme et ses airs sérieux se cache donc une volonté solide.


    Pourtant, et cela peut surprendre, Alixane abrite au fond d'elle-même une âme de poète. Si elle parle peu, c'est qu'elle sait apprécier la valeur des mots. Elle aime les chants, les vers, les histoires émouvantes et bien racontées. Capable de dissimuler ses émotions dans les situations les plus éprouvantes, elle laissera sans retenue couler ses larmes en entendant réciter un complainte particulièrement touchante. Elle tient d'ailleurs les trouvères en haute estime, et les honore au même titre qu'un guerrier de valeur. Elle chante et écrit un peu elle-même, et ces vers sont sans doute le chemin le plus direct jusqu'à son âme. Chemin que jusqu'à présent, nul n'a su trouver, car elle se garde bien de les partager hormis avec ceux en qui elle a toute confiance, et ceux-là sont presque tous décédés.


    Elle est aussi avide de beauté, que ce soit dans la nature et les paysages grandioses de son pays, ou dans les arts, qu'elle connaît peu mais qu'elle admire de loin. Rien ne lui plaît tant que de chevaucher longuement dans les montagnes seule avec ses pensées, pour s'arrêter, gorge serrée, devant un panorama à couper le souffle.


    Elle ne s'autorise cependant plus ce genre de distractions depuis son accession au titre de baronne. La gestion de son fief et les questions politiques sont désormais son quotidien, et elle porte le deuil de sa liberté au même titre qu'elle pleure les siens. Elle reste cependant fort ignorante du vaste monde et de ses rouages, bien peu armée face à ce qui l'attend.


    Physique


    Une longue silhouette, voila ce qu'on aperçoit en premier. Les hanches peu saillantes, la poitrine de même, le tout dominé par des épaules que l’entraînement aux armes a rendues sans doute un brin trop larges pour les canons de beauté classique. Un corps sec, souple, efficace, elle ne lui demande rien de plus. Un peu trop maigre sans doute, mais musclé assez pour porter l'armure, cela suffit.
    Sa peau pâle est piquetée de taches de rousseur qui marbrent son corps tout entier, moutonnant davantage encore sur son visage, ses épaules, ses mains. Les paumes de ces dernières sont marquées de cals typiques de ceux qui savent manier le fer. Quelques fines cicatrices zèbrent parfois la chair, rappelant d'ailleurs qu'elle a vécu plus d'un combat. Les graves blessures lui ont cependant été pour l'instant épargnées, et son visage reste sans marques. Des articulations déliées, de longs doigts et un cou de cygne complètent le tableau général.
    Sa mâchoire est légèrement carrée, ses lèvres fines et son nez pointu, avec des joues creuses et des pommettes marquées, le tout dominé par un regard gris-vert souvent mélancolique. Ses traits sont rarement illuminés d'un sourire, et les émotions qui s'y lisent sont subtiles, passant plutôt par les yeux, car son expression reste généralement calme et pensive. Les cheveux d'un blond doré tirant sur le roux sont coupés relativement courts, si fins et légers que le moindre vent les fait danser. Elle les maintient en tresses plaquées lorsqu'elle veut les écarter de sa vue, mais n'hésite pas à les laisser voler librement autour de son visage le reste du temps, car elle aime sentir les bourrasques les ébouriffer. Sans doute une des rares excentricités qu'elle se permet.
    Son maintien est parfois un peu raide, la tête haute, le regard droit. Sa démarche et ses gestes sont vifs et directs, et ses vêtements, quoique d'assez bonne qualité, car après tout elle tient son rang, sont généralement choisis davantage pour leur coté pratique que pour leur attrait esthétique. Elle privilégie les couleurs ternes et les teintes de gris.



    Histoire


    Valbruine porte bien son nom. L'étroite vallée encaissée est cernées de hauts pics d’où s'élancent des cascades d'une hauteur prodigieuse. L'eau se jette avec violence par delà les falaises et vient embrasser la roche grise en contrebas dans un fracas constant, éclaboussant le paysage autour d'une myriade de gouttelettes glacées. Le vent puissant qui souffle dans la vallée charrie cette eau et vient la fouetter au visage des habitants. L'on est rarement sec, dans le Valbruine, et ce même lorsque le ciel est clair.
    J'aime ce pays de toute mon âme, ses pentes escarpées, ses forêts obscures, les points de vue spectaculaires que l'on peut admirer au prix d'une longue escalade. Dès que je m'en éloigne, mon cœur saigne, et je ne me sens vraiment bien que lorsque je suis chez moi, chevauchant dans les landes des hauts plateaux, ou à l'abri d'un violent orage dans l'ancienne forteresse de pierre de mes aïeux.


    Déjà lorsque j'étais enfant, le château était en mauvais état. Cette vénérable place forte était autrefois un nœud crucial de la défense des nos montagnes, mais les fiers défenseurs qui garnissaient ses murs au temps jadis auraient le cœur serré de la voir aujourd'hui. Les miens n'occupent qu'une moitié des bâtiments, ceux qui ceignent la cour arrière sont à demi écroulés. Les murailles ou rampe inexorablement le lierre ne sont plus surveillées que par une poignée d'hommes et de femmes vaillants mais trop disséminés pour assurer une défense convenable si nous devions contenir un véritable assaut.
    Pourtant, mes ancêtres ne sont pas réellement à blâmer pour cette triste situation. Valbruine faisait autrefois partie d'un grand plan de défense aujourd'hui tombé en désuétude. Sans support extérieur, les maigres revenus de la baronnie ne suffisent pas à entretenir pareil ouvrage. Si nos murailles sont dégarnies, ce n'est pas par manque de soldats, mais parce que ceux-ci sont plus utiles aux champs ou à la mine. Mon père, mon grand-père et ceux qui les ont précédés ont fait de leur mieux pour conserver ce qui pouvait l'être, sans se faire d'illusions sur leurs minces ressources.
    Pour une petite fille aventureuse, ce château à demi en ruine était un terrain de jeu magnifique. J'avais alors de nombreux frères et sœurs. Mon aînée, Ilia, qui devait succéder à notre père, était souvent trop prise par ses leçons pour venir s'amuser avec nous, mais le reste de la fratrie avait droit à bien plus d'oisiveté. Pour sûr, nous avions nous aussi des précepteurs, mais l'éducation des cadets est toujours un peu plus indulgente. Il nous était évidemment formellement interdit d'aller folâtrer dans les bâtiments de la cour arrière, jugés dangereux à cause des risques d'éboulement. Naturellement, nous y passions le plus clair de notre temps.
    Nous étions tous très proches, tant en âge que de cœur, mais celle avec qui je m'entendais le mieux était la fille naturelle de mon père, Roxane. A l'époque, je comprenais encore mal la notions de bâtarde. Elle était pour moi une sœur, au même titre que les autres. Je comprenais cependant que ma mère ne pouvait la souffrir, et qu'elle était l'un des plus grands points de discorde entre mes deux parents. Mais aussi loin que j'étais concernée, elle était un membre de la famille, et je l'aimais.
    Mon père supervisait notre éducation de loin, bienveillant mais inflexible. Ma mère, elle, se murait dans son boudoir, et n'en sortait que pour avoir avec mon géniteur des disputes spectaculaires à faire pâlir de jalousie nos orages de montagne.


    De mon côté, je poussais comme une mauvaise herbe, et je mûrissais peu à peu. On m'enseigna le maniement des armes très tôt, car père croyait fermement que plus on apprend jeune, plus les mouvements deviennent naturels. Je prenais plaisir aux entraînements, mais je ne les considérais pas moins avec un grand sérieux. Je savais, bien entendu, qu'on ne nous faisait pas manier les armes pour le plaisir. La baronnie de mon père... la mienne, aujourd'hui, se situe le long de la frontière Khöze, et les raids sont fréquents, c'est pourquoi les enfants de ma famille apprennent à se battre quel que soit leur sexe. Nos combattants s'efforcent de protéger les villages, mais il est impossible de savoir à l'avance ou les sauvages vont frapper, et ils ne font pas de prisonniers. Notre devoir, en tant que fils et filles du baron de Valbruine, était d'aider à défendre nos terres et le comté de Montdragon.


    J'avais neuf ans quand on m'enleva Roxane. La violence des colères maternelles avait finalement eu raison de la volonté de mon père, qui s'était résigné à chasser sa bâtarde de nos murs. J'en conçus une profonde tristesse, car bien que je fusse profondément attachée à tous mes frères et sœurs, c'était d'elle que je m'étais toujours sentie la plus proche, et son départ était un déchirement.


    Malgré tout, la vie repris son cours, bien que je n'aie jamais totalement pardonné à ma mère. Le départ de Roxane marqua la fin de la discorde entre les époux, et ce retour au calme s'accompagna dans l'année de la naissance de deux jumeaux, suivi trois ans plus tard par un nouveau petit frère. De mon coté, je continuais de grandir, devenant peu à peu une femme faite et une combattante ma foi assez correcte. Je me joignis bientôt aux patrouilles chargées de repousser les raids des Khöz sous la houlette des chevaliers de mon père. J'appris à connaître le Val et ses habitants, et je participais à mes premières escarmouches. Tuer ne fut pas facile la première fois... ni la seconde. Mais c'était mon devoir, et je m'y habituais. Il faut parfois ôter une vie pour en préserver une autre, c'est grâce a Tamas que Rajas prospère. Je n'aime pas ça, mais je sais m'y contraindre. Comme je devenais plus aguerrie, mon père me laissa le commandement d'une petite troupe.


    Mes frères et mes soeurs se mariaient et fondaient leurs familles... mais je n'étais pas pressée. Mon père, par chance, disposait de bien assez d'enfants pour tisser les alliances de son choix, et de toute façon, notre baronnie était de trop faible importance pour intéresser réellement quiconque dans l'optique d'un mariage arrangé. Aussi me laissa-t-on à ma vie de guerrière, et je faisais assez ma part pour qu'on ne me reproche pas mon célibat. Parmi les hommes que mon père mis sous mon commandement, cependant, se trouvait un cavalier avec qui je développait peu à peu une certaine amitié. Bien que fils de chevalier, messire Drystan avait fort peu à offrir en termes de mariage. Cela ne me troublait guère, mais il était pour lui hors de question de demander ma main sans avoir auparavant prouvé sa valeur auprès de mon père. Il considérait cela comme une question d'honneur. Je l'en respectais d'autant plus, et attendre ne me dérangeait pas, aussi nous attendîmes. Nous attendîmes trop longtemps.


    La guerre vint alors, et nous nous joignîmes à l'ost de Montdragon, en Feynes puis à Durinis. Je n'étais pas étrangère aux combats, loin de là, mais une bataille rangée est très différente d'une escarmouche avec des pillards, et rares sont ceux qui n'en reviennent pas changés. J'étais pourtant fière d'aller me battre aux côtés de mon père, d'autant que parmi ceux qui partirent avec nous se trouvait Roxane, ma chère sœur, que je n'avais que très peu revue depuis notre enfance. Mais ma joie fut vite douchée par la boucherie que furent les combats, et par l'amertume de la défaite. Dans les pertes du petit ost de Valbruine se trouvait messire Drystan. J'étais alors loin d'imaginer qu'il n'était que le premier d'une longue série de deuils.


    Car nous rentrâmes chez nous, épuisés, vaincus, alors que l'automne arrivait, et avec lui, sans que nous le sachions, venait un vent de mort. Les premiers cas de peste apparurent dans les villages au début de l'hiver, et la maladie gagna bientôt le château. Mon frère Léas fut le premier à partir, et ses enfants le suivirent rapidement dans la tombe. Puis vint le tour de mes cadets, Medwyn et le jeune Cadell. Ma soeur Ilia parut un temps pouvoir se rétablir, avant que son mal n'empire et l'emporte. Mon père et elle moururent presque en même temps, lors de la nuit la plus froide. Je passais les jours dans un brouillard hagard, assistant du mieux de mes maigres capacités ceux qui respiraient encore, couvrant sur les conseils du médecin mon visage de masques de tissus imbibés d'essence de pin, et priant le Trimurti à chaque instant de répit. Il n'entendit guère mes prières.
    C'est ma mère, finalement, qui réalisa la situation précaire dans laquelle nous nous trouvions et me força à laisser les malades pour m'isoler avec elle et ceux qui avaient échappé au mal. Sans elle, j'aurais sans doute fini par contracter la maladie à mon tour. Le sens de sa réaction m'échappa dans un premier temps, jusqu'à ce que la réalité me frappe comme une lance en plein cœur : Père, Ilia, Léas et ses enfants... Tamas les avait tous emportés. J'étais maintenant l’aînée. J'étais maintenant baronne.


    Je n'ai jamais voulu de ce rang, et je donnerai cher pour pouvoir le rendre à ceux qui devaient légitimement en hériter. Mais puisqu'il ne reste que moi, j'essaie de prendre les choses en main. Malgré la colère de ma mère, j'ai rappelé Roxane au château de Valbruine. Nous sommes trop peu, aujourd'hui, pour nous permettre d'être divisés. De ma famille autrefois nombreuse il ne reste que ma demi-sœur, ma mère et les jumeaux qui ne sont encore que des enfants. Il me revient maintenant de les protéger, comme il me revient de défendre Valbruine.


    Compétences



  • Armes Blanches (épée à deux mains) - 3

  • Sport (équitation) - 2

  • Sport (escalade) - 2

  • Survie - 2

  • Etiquette - 1

  • Artisanat (poésie) - 1

  • Artisanat (chant) - 2


  • Derrière l'écran



    Êtes-vous majeur ? Voui
    Avez-vous lu le règlement ? Voui aussi. Code validé par Courage
    Comment-êtes vous arrivé sur Les Serments d'Eurate ? Google
    Une suggestion ?
    Ce personage est-il un DC ? Si oui, de qui ? Nope




    Re: Alixane de Valbruine ─ Mer 4 Avr - 16:33
    Anonymous
      Invité
      Invité
      Bienvenue parmi nous !

      Re: Alixane de Valbruine ─ Mer 4 Avr - 16:54
      Courage de Nera
        Courage de Nera
        Duc
        Bonjour et bienvenue.
        Je suis fan de ton avatar et j'ai vraiment hâte de voir les personnes que vous nous réservez. ^^
        Re: Alixane de Valbruine ─ Mer 4 Avr - 19:02
        Kira de Casteldragon
          Kira de Casteldragon
          Comtesse
          Bienvenue, Baronne! Heureuse de voir qu mon comté vous a charmé!
          Hâte de vous rencontrer INRP, avec votre adorable sœur ^^
          Re: Alixane de Valbruine ─ Mer 4 Avr - 22:09
          Anonymous
            Invité
            Invité
            Merci pour l'accueil Smile Ma fiche est terminée, je crois.
            Re: Alixane de Valbruine ─ Mer 4 Avr - 22:18
            Guillaume de Mornoie
              Guillaume de Mornoie
              Chevalier
              GG pour ta fiche et officiellement bienvenue parmi nous Very Happy
              Re: Alixane de Valbruine ─ Jeu 5 Avr - 9:42
              Audace Haute-Lune
                Audace Haute-Lune
                Comte
                Salutations Dame de Valbruine, voici une histoire très poignante ^^
                J'espère avoir la chance de vous rencontrer lors d'un rp futur, nous ne sommes pas vraiment voisins mais il me semble important d'avoir de bonnes relations même avec les seigneurs éloignés Smile
                Re: Alixane de Valbruine ─ Jeu 5 Avr - 9:50
                Chroniqueur Impérial
                  Chroniqueur Impérial

                  Validée !!


                  Voir venir de nouveaux seigneurs est toujours une chose très intéressante qui promet du jeu surtout lorsque l'on voit des références à des évènements passés qui démontrent un intérêt pour l'histoire d'Eurate ^^
                  Te voici donc à présent validée aussi je te souhaite officiellement la bienvenue sur Eurate. Tu vas pouvoir rejoindre le groupe des Seigeurs et je vais t’inviter dès à présent à :

                  ■ Te créer un carnet d'aventures afin d’avoir un suivi de tes rps.
                  ■ Aller lire les différentes demandes de RP pour trouver des partenaires de jeu.
                  ■ Poster un sujet dans les correspondances. C’est ici que les autres joueurs pourront t’envoyer des courriers en restant dans du roleplay.
                  ■ Suivre l'arrivée de nouvelles quêtes disponibles afin de rejoindre d’autres joueurs en ayant déjà un but précis.
                  ■ De plus, tu peux demander un sous-forum pour ton domaine en ouvrant ta propre page dans , le marché. Tu trouveras ICI les infos requises pour faire ta demande. N'hésite pas à nous mp si certains points ne sont pas clairs Wink

                  N'oublie pas de voter pour nous aider à promouvoir le forum en échange de récompenses et surtout, amuse toi bien !

                  Re: Alixane de Valbruine ─
                    Contenu sponsorisé