• Nom : Albrech • Prénom : Garance • Âge : 32 ans • Sexe : Féminin • Rang : Citoyenne • Métier : Marchande
Physique Quiconque plonge son regard dans les yeux noisette de la demoiselle y lit une grande humanité et une profonde bonté, sauf s'il a eu le malheur de la contrarier. Dans ce cas, tout ce qu'il y verra sera un regard sombre. En effet, les yeux de Garance sont littéralement le reflet de son humeur.
En temps normal, ils sont plutôt vert sombre mêlés de marron près de ses pupilles. Mais lorsque la colère l'envahie, le marron semble les envahir et il ne fait pas bon l'irriter plus.
Son visage est agréable, avec des joues rondes et des lèvres pleines. Il est encadré de belles boucles souples et rousses comme les feuilles d'automne. Mais ce qui fait son charme, c'est surtout son sourire, toujours authentique qui fait pétiller ses yeux.
Même si au premier regard, sa petite taille et sa carrure frêle peuvent donner l'impression d'une petite chose fragile, il ne faut pas s'y tromper. Le fait qu'elle tienne à recueillir elle-même les plantes qu'elle propose l'amènent à faire beaucoup de route, à se rendre dans des endroits difficilement accessible, entretenant par là même une musculature fine mais efficace.
Même si quand l'envie lui en prend, elle peut se faire très belle, Garance a tendance à sacrifier l'élégance de ses tenues à leur côté pratique. Elle est souvent vêtue assez simplement d'un corsage noir sur une jupe de drap vert foncée et chaussée de bottines en cuir fatiguées. Elle traine aussi toujours avec elle une gibecière de cuir marron qui lui sert autant pour ses cueillettes que pour ranger ses affaires personnelles.
Caractère S’il y a bien une chose dont Garance a horreur, ce sont les conflits. Dans n’importe quelle situation, elle fera tout son possible pour éviter une altercation. Que se soit par la diplomatie, ou par la fuite… Elle a appris depuis longtemps qu’elle était capable de se faire aussi discrète et invisible qu’une petite souris pour éviter les problèmes.
Son naturel patient et diplomate lui permet d’ailleurs souvent d’éviter de se retrouver dans ce genre de situation. Elle est tout à fait à même de désamorcer un conflit par ses douces manières et son sourire communicatif.
Mais il ne faut pas s’y tromper et prendre sa gentillesse pour de la bêtise ou de la lâcheté. Même si elle a horreur de ça, et qu’elle ne sera pas la première à chercher la bagarre, elle n’hésitera pas à montrer les crocs et à se défendre si on lui marche trop longtemps sur les pieds, et encore plus rapidement si on s’en prend à quelqu’un qu’elle aime.
Dans ce cas, là, elle a pour elle un certain effet de surprise. Ses colères sont si rares que mêmes ses proches s’y sont fait prendre une fois ou l’autre. À ces occasions-là, ils ont pu découvrir la main de fer sous le gant de velours. Certains ont même eut la surprise de découvrir que la frêle jeune femme savait très bien où taper pour se dégager d’un importun. Ceux qui ont eu l’occasion d’y goûter ont rarement été tentés de renouveler l’expérience. Mais ces derniers sont rares.
Pour la plupart des gens Garance est une charmante jeune femme plutôt discrète et à la conversation agréable. Sa personnalité est d'ailleurs certainement une des principales raisons qui fait que son commerce est prospère. Ses clients savent qu'ils trouveront en elle une écoute bienveillante, des conseils avisés et que leurs problèmes personnels ne feront pas les gorges chaudes de la ville...
Compétences de base
Herboristerie : 4 - Médecine : 2 - Survie en milieu naturel : 1 - Auto-défense : 1
Histoire Garance naquit par une belle nuit d’octobre dans une famille de commerçant. Ses parents qui commençaient à désespérer de voir leur union sacrée par l’arriver d’un héritier furent fous de joie.
Son enfance fut heureuse, dés toute petite, elle n’aimait rien tant que de rester dans l’herboristerie de son père. Elle aimait l’odeur des plantes et le défilé incessant des clients. Pour elle son père était un héro qui soulageait les douleurs et les peines des gens de la ville.
Quand son père la considéra comme suffisamment grande, et comme il avait compris que son épouse ne pourrait pas lui donner l’héritier mâle tant espéré, il commença à l’initier à l’art de l’herboristerie. Il lui apprit les plantes et leurs usages.
Garance montrait des pré-dispositions pour cet apprentissage. Elle adorait les plantes, les fleurs et elle était doué d’une mémoire étonnante dans ce domaine. Il suffisait que son père lui parle une seule fois d’une plante particulière et de ses propriétés pour qu’elle s’en rappelle. Il suffisait qu’il fabrique une seule fois devant elle une potion pour qu’elle soit capable de la reproduire à l’identique, même plusieurs mois plus tard.
En grandissant, elle montra également des pré-dispositions pour formuler des potions. Elle était même particulièrement inventive. Son âme d’enfant n’ayant pas été formaté par l’éducation, elle lui demandait parfois pourquoi il n’associait pas telle et telle plantes pour tels symptômes.
Au début réticent, son père fini par se demander si l’originalité de pensée de sa fille ne pourrait pas être une bonne chose. Lui, avait reçu une formation « classique » et se contentait de reproduire les médications qu’on lui avaient enseignées en fonction des symptômes que ses clients décrivaient. Il fut convaincu des « dons » particuliers de sa fille lorsqu’il dut soigner un cas particulièrement grave. Il pensait la personne en question perdue. Il eut alors l’idée saugrenue de tenter ce que sa fille lui proposait. Après tout, perdu pour perdu, autant tenter le tout pour le tout. Lorsque son client se rétablit, à la grande surprise de tous ses soignants, il comprit qu’il tenait là une « poule aux œufs d’or ».
La mère de Garance s’amusait de voir sa fille et son mari apprendre l’un de l’autre. De son côté, elle s’efforçait de préparer sa fille à l’avenir qu’elle imaginait pour elle.
En effet, vu leurs statuts sociaux, elle n’imaginait pas pour sa fille un autre avenir qu’un mariage et des enfants.
Elle s’efforçait donc d’en faire une parfaite maîtresse de maison, lui apprenant a concocter de bons petits plats, quelques notions d’économie domestique et les tâches ménagères courantes… Cet apprentissage-là était particulièrement pénible pour la petite, elle n’avait aucun goût pour la tenue d’un foyer. Mais comme elle aimait beaucoup sa mère, elle faisait beaucoup d’efforts, mais n’était pas douée.
Inconsciemment, sa mère lui inculqua également une certaine indépendance. Eléna, tel était le nom de la femme, avait épousé, Igmar dans le cadre d’un mariage arrangé entre leurs deux familles. Même si finalement, une certaine tendresse et un grand respect s’était crée entre les deux étrangers qui s’étaient épousés, elle savait que nombre de ses mariages n’étaient pas aussi heureux.
Elle s’efforçait donc de faire comprendre à sa fille que le « prince charmant » n’existait pas, et qu’il ne fallait pas se laisser envahir par ses émotions. Garance l’écoutait en se disant que dans de telles conditions, le plus simple était encore de ne jamais se marier. La fillette n’était pas encore consciente que, pour ses parents, son avenir était déjà scellé, et qu’ils connaissaient déjà leur « futur » gendre.
Elle le découvrit un soir d’automne, à la veille de ses 18 ans. Ses parents avaient organisé une soirée festive avec quelques un de leurs amis.
Naïvement, l’adolescente avait pensé qu’ils voulaient lui offrir une fête d’anniversaire. Elle n’avait compris qu’au moment du dessert que ce n’était pas un anniversaire, mais des fiançailles. Au moment où le cuisinier avait apporté le dessert, son père s’était levé, très solennel avant de prendre la parole, l’œil brillant et un sourire fier aux lèvres :
-« Mes chers amis, je vous remercie de vous être joint à nous pour cette soirée qui marque un tournant important dans la vie de ma fille… »
Il posa un regard attendri sur la rougissante Garance au bout de la table.
Elle était belle sa fille. Sa chevelure de feu mettait en valeur son teint de lait et sa peau veloutée. Pour cette soirée particulière, sa mère lui avait fait confectionner une magnifique robe qui mettait en valeur sa taille fine et ses jolies formes. Il savait aussi qu’elle était intelligente et bien éduquée par ses soins. Il se prit à regretter que son enseignement d’herboriste ne lui servirait que dans le cadre familial, mais c’était pour la bonne cause.
Il posa le regard sur le promis… bon, il est vrai qu’il n’avait rien pour faire rêver. Il avait 20 ans de plus que sa fille, et il était déjà veuf plusieurs fois. Certaines mauvaises langues disait qu’il n’était pas étranger au trépas de ses épouses. Mais Igmar ne voulait pas y croire. Il était en relation d’affaires avec lui depuis plusieurs années. Et quand, quelques mois plus tôt l’homme avait fait part de son intérêt pour la charmante fille de l’herboriste, il n’avait été que trop heureux de pouvoir négocier un mariage en échange d’une relation commerciale plus « approfondie ».
Un silence attendrit suivit cette déclaration.
Garance regardait son père avec une immense tendresse. En cet instant, elle aimait cet homme au-delà du raisonnable.
Ses paroles suivantes firent voler en éclats cet amour et toute l’existence de la jeune fille.
-« J’espère que vous serez également tous présents lors de la cérémonie qui unira son existence à celle de notre cher Leodred. »
Garance ne vit même pas son père lever son verre en direction de « l’heureux élu », ni même ce dernier se lever et saluer avec un air faussement humble les invités.
Il lui fallut plusieurs secondes pour réaliser ce qui se passait. Pour comprendre que cette fête n’était pas une fête d’anniversaire avec un jour d’avance, mais des fiançailles.
Au fur et à mesure que le jour se faisait dans son esprit, les yeux de Garance s’écarquillèrent. Elle chercha des yeux sa mère, qui sembla soudain passionnée par les motifs de la nappe, puis ceux de son père, qui la fixaient à nouveau avec un air fier, les joues vaguement rose d’émotion.
Le reste de la soirée, Garance ne s’en rappela que par bribe et par sensations. D’abord l’incrédulité. Elle sentit le sourire stupide qui s’étalait sur son visage. Après tout, son père s’attendait qu’elle soit ravie, et elle ne voulait pas le contrarier.
La douleur de la déchirure de la trahison qui envahit son âme quand elle comprit, et puis, l’assombrissement de ses yeux et la chaleur de ses joues lorsque la colère l’envahit.
Le froid de la pluie d’octobre sur ses épaules nues.
Le réconfort de la lumière de la taverne où elle avait fini par trouver refuge et l’engourdissement de la douleur au fur et à mesure qu’elle buvait la bière qu’elle avait commandée.
Lorsque le jeune homme vint s’installer à sa table, Garance n’avait plus vraiment toutes ses facultés. L’alcool avait fait sauter les verrous de sa « bonne éducation ». Le jeune homme était beau. Il lui parlait gentiment. Même si elle n’avait jamais expérimenté ce genre de sensation, elle sentait qu’il la désirait. Malgré les brumes de son ivresse, elle comprit instinctivement qu’il pouvait être une solution à ses problèmes. Ce que son ivresse ne lui avait pas permis de réaliser, c’était ce à quoi elle s’exposait.
Elle avait accepté de le suivre dans un endroit « plus calme ». « Pour discuter », à ce qu’il avait dit. Mais discuter n’était pas ce qu’il attendait. Inconsciemment, elle le savait. Inconsciemment, elle avait accepté de le suivre en connaissance de cause.
Avec le recul, elle savait qu’elle ne pouvait rien lui reprocher. Il l’avait jute prit pour quelqu’un qu’elle n’était pas et elle avait accepté de jouer ce rôle.
Il n’avait pas été brutal, ni violent. Mais, il n’avait compris que trop tard le cadeau inestimable que la jeune femme lui faisait. Il ne l’avait compris que quand il avait repris ses esprits. À ce moment-là, il s’était rendu compte que la femme qu’il venait de posséder pleurait à chaudes larmes, même si elle s’était efforcée de le cacher.
Il avait été stupéfait. Il lui avait demandé ce qui se passait, et Garance, complètement tourneboulée n’avait pu se retenir de lui expliquer.
Elle l’avait vu pâlir. Visiblement, il ne s’attendait pas à tomber sur une jeune vierge dans une taverne. Il s’était montré particulièrement tendre, il avait tenté de la réconforter, de la consoler.
Le jeune homme se rappellerait jusqu’à la fin de ses jours de la jeune fille qu’il avait déflorée dans l’impasse sombre derrière la taverne de cette ville. Garance non plus ne l’oublierait jamais non plus, même si elle ignorait à ce moment-là qu'il était aussi inexpérimenté qu'elle.
En fin de matinée, elle rentra chez elle. Après tout, elle ne savait pas où aller. Qu’elle le veuille ou non, elle était la fille d’un couple de « notables ». Elle n’eut pas besoin de dire quoi que se soit. L’état de sa tenue parla pour elle.
Son père hurla. Pour la première fois de sa vie, il la frappa. Elle supporta les coups avec stoïcisme. Ils savaient tous les deux que l’inconduite de la jeune femme allait mettre un terme aux projets de mariage. Il était fou de rage. Elle se disait que les coups étaient un bien moindre coût à supporter.
Lorsqu’il hurla qu’il la reniait et qu’il voulait qu’elle disparaisse de sa vie, pour la première fois, la mère de Garance se rebiffa. Elle dit à son mari que s’il chassait sa fille, elle partirait avec elle. Malgré sa colère, Igmar aimait sa femme. Il ne pouvait envisager de la perdre. Il céda.
Garance était consciente que les choses ne pourraient pas revenir à la normale d’un coup de baguette magique. Mais elle avait espéré que le temps et l’amour que son père lui portait permettraient d’aplanir les difficultés. Ce ne fut pas le cas.
Au bout de quelques mois d’une cohabitation tendu et explosive, et consciente des tourments que cela imposait à sa mère, Garance finit par quitter le domicile familial.
Elle trouva un boulot de serveuse dans une taverne et négocia avec le tenancier une partie de son salaire contre une petite chambre. Il accepta. Malgré son caractère patient et doux, elle apprit à se faire respecter, n’hésitant pas à faire usage de la force si nécessaire. Lorsque qu’elle planta une fourchette dans la main baladeuse d’un client, elle fut sûre de se faire renvoyer. Mais, le tenancier de l’auberge se contenta de rire et de hurler à l’ensemble de la salle :
-« Que ça vous serve de leçon à tous. Si la serveuse dit non, c’est qu’elle n’est pas au menu. »
Les années passèrent. Sa mère mourut. Elle en fut particulièrement affectée, même si elle lui en voulait toujours de ne pas avoir empêché la « soirée de fiançailles ». Quelques mois plus tard, son père suivit sa femme. Garance en ressentit un pincement au cœur, mais elle ne s’autorisait pas à ressentir de la compassion pour le premier homme qui avait trahi sa confiance.
Elle ne put toutefois s’empêcher de pleurer toutes les larmes de son corps quand elle découvrit que contrairement à ce qu’elle avait attendu, son père ne l’avait pas reniée.
Il lui avait laissé l’herboristerie et tous ses biens.
Garance comprit à ce moment-là que si le côté « petit notable bien-pensant » de son père avait était traumatisé par les événements qui avaient marqués son 16e anniversaire, l’homme fière et indépendant en lui comprenait le comportement de sa fille et d’une certaine manière était fier d'elle.
Elle vendit la maison de ses parents. Elle n’avait pas besoin d’une telle demeure. Avec le fruit de la vente, elle fit réhabiliter le « débarras » qui occupait l’étage de la boutique en un petit logement.
Même s’il était plutôt inhabituel qu’une femme soit propriétaire de ce genre de boutique, et même si certains des notables de la ville savaient son « inconduite », son caractère doux, sa discrétion et sa compétence lui permirent de se faire un nom dans la ville.
La boutique de son père était déjà pas mal fréquentée, sous sa direction, elle devint particulièrement courut.
C'est à cette époque, par un cruel coup du hasard qu'elle retrouva le jeune homme de la taverne. Bast venait de finir son cursus et repartait à peine quelques jours plus tard. Ils passèrent un peu de temps ensemble, profitant de la douceur et de la tendresse de leurs retrouvailles, avant de se perdre à nouveau de vu, séparer par une trop grande distance pour pouvoir garder un contact aussi étroit qu'ils l'auraient voulus.
Une dizaine d'année plus tard, Garance était devenu une femme d'affaire avisée, même si elle n'avait pas perdu sa bonté et sa générosité. Elle était fière de sa réussite professionnelle. Le mal qu’elle se donnait pour faire fructifier la boutique était couronné de succès. Elle pouvait se targuer d’avoir une vie confortable. Elle faisait partie de la « bourgeoisie » de la ville. Son existence matérielle était confortable. Il faut dire qu’elle n’avait pas beaucoup de besoins. Mais sa vie sentimentale n'était pas très développé. Il n'y avait personne de régulier dans sa vie. Quelques amants d'une nuit, parfois quelques relations suivi sur quelques jours, mais elle n'était pas prête à accepter de se soumettre à quelqu'un.
Derrière l'ordi Certifiez-vous avoir au moins 18 ans ? Oui Avez-vous lu le règlement ? Code validé Comment avez-vous trouvé le forum ? Par un autre membre Le design du forum est-il lisible ou avez-vous eu des problèmes pour vous y retrouver ? Pas de soucis pour l'instant Avez-vous des questions ou des suggestions ? Le texte du modèle de fiche est quand même plutôt petit pour mes yeux de myope vieillissante (oui, oui, je sais, j'aurais probablement pu le grossir un peu en modifiant le code, mais j'ai déjà du mal à coller mon texte au bon endroit, donc, je risque pas d'y modifier quoi que ce soit. XD)
Contente de te voir ici Garance ^^ J'ai validé ton code et je lis ton bg demain ^^
Re: Garance Albrech ─ Dim 3 Juil - 23:13
Invité Invité
Oki, merci Courage. Je pense que tu vas y trouver une certaine impression de déjà vu (enfin, si tu avais lu la fiche de Garance sur notre autre forum commun)
Re: Garance Albrech ─ Dim 3 Juil - 23:14
Courage de Nera Duc
Je l'avais lu et j'avais aimé. Il n'y a pas beaucoup à changer et c'est un peu voulu ^^
Re: Garance Albrech ─ Dim 3 Juil - 23:15
Invité Invité
Bah, vu que je ne citait aucun nom de lieu, je dirais même que je n'ai quasiment rien changé, si ce n'est que j'ai rajouté une petite référence à Bast.
Re: Garance Albrech ─ Dim 3 Juil - 23:17
Courage de Nera Duc
Cela facilite les choses ainsi ^^
Re: Garance Albrech ─ Dim 3 Juil - 23:18
Invité Invité
Yep, c'est sur.
Re: Garance Albrech ─ Dim 3 Juil - 23:19
Invité Invité
En tout cas, j'avoue que je suis contente de pouvoir reprendre le perso de Garance.
Re: Garance Albrech ─ Dim 3 Juil - 23:19
Courage de Nera Duc
Un peux comme tout le monde ici je crois ^^ ON avez pas envie de perdre nos personnage ^^
Re: Garance Albrech ─ Dim 3 Juil - 23:20
Invité Invité
En tout cas, c'est une bonne idée.
Re: Garance Albrech ─ Dim 3 Juil - 23:21
Courage de Nera Duc
Merci, c'est jute l'envie de continuer l'aventure qui nous a motivé ^^
Re: Garance Albrech ─ Lun 4 Juil - 15:06
Invité Invité
Garance !
Re: Garance Albrech ─ Lun 4 Juil - 15:23
Invité Invité
Garance ! La beauté est la satisfaction de la vision ! va prendre ses cachets
Re: Garance Albrech ─ Lun 4 Juil - 21:04
Courage de Nera Duc
tu es validée Garance. Je déplace ta fiche. Tu peux commencer à rapatrier tes rp ici si tu le veut et participer à flood. Si tout va bien fin de semaine on peut commencer officiellement à rp ^^