Le Deal du moment :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : ...
Voir le deal


Jeremiah Valdoré
NouveauRépondre


Jeremiah Valdoré ─ Jeu 9 Fév - 9:25
Anonymous
    Invité
    Invité

    Jeremiah Valdoré


    "Les bons comptes font les bons amis"



    29 ans
    Originaire de Nera, en Isedra
    Statut social : Bourgeois
    Son métier : Marchand


    Caractère


    Nous somme mardi, ou peut-être mercredi, un jour de printemps. Les jours se succèdent et se ressemblent. Cela fait un an maintenant que mes jambes ne peuvent plus me porter, un an que je passe le plus clair de on temps dans ce lit, dans cette chambre aménagée pour moi. Je n'y tenais pas mais il a insisté. Il est vrai que la vue est belle de cette hauteur, mais à quoi bon voir le monde quand on ne peut plus se déplacer. Parfois il m'arrive d'en avoir assez, de vouloir tout abandonner et me laisser mourir. Mais je ne peux pas me le permettre, je dois tenir, être forte. Pur lui. L'étoile de ma vie, mon joyaux, mon fils.

    Il est si beau, mon fils. Et si gentil, si généreux. Dupuis que son père est parti c'est lui qui s'occupe de moi. Toujours de bonne humeur, toujours si souriant, si bon, si compréhensif. Jamais une plainte, Jamais un râle, jamais une réflexion de travers. Je ne sais pas si c'est par amour pour moi ou par compassion. Cette compassion, qu'il tient sûrement de moi, tout comme son calme et sa bonté d'âme. Je suis heureuse qu'il ait gardé ce trait, malgré tout. Comme chaque jour il est venu me voir, me parler, me rassurer. Il pense encore trouver un remède pour ma maladie, cet incorrigible optimiste... Nous avons mangé ensemble, il m'a enserré de ses bras forts, puis il est parti.

    Oh, je ne suis pas une idiote. Je sais bien ce qu'il fait de ses nuit, ce qu'il tente de me cacher. Exactement comme son père. De ce coté, il lui ressemble bien. Intrépide, déterminé, espiègle. Cette vie, la nuit, est dangereuse. Je le sais, et je m'inquiète. Pourtant, aujourd'hui, j'ai confiance. Il est malin, mon fils, et prudent. Je sais qu'il prend garde à tous ce qu'il fait, qu'il s'assure de diminuer le plus de risques possibles. Mais j'ai peur. J'ai peur qu'il finisse comme son père. J'ai peur qu'il se laisse emporter par cet engrenage de morts et de haines qui a consumé mon époux. J'ai peur, mais moins depuis quelques années. Je ne sais ce qui a changé, cette année là, mais depuis je le trouve différent. Il n'est plus aussi sombre qu'après la mort de son père, ni aussi maussade que ces jours-là où... Je ne sais pas ce qui l'avait rendu maussade, d'ailleurs. En tout cas, je le sens maintenant plus heureux, plus brillant. Comme s'il a trouvé un sens à sa vie, comme si la rancoeur transmise par son père avait disparue. Serai-ce une femme qui a pris son coeur ? Je l'ignore. Mais il est heureux, et cela réchauffe mon coeur. Je l'aime, mon fils.


    Physique


    C'était un lundi matin, un jour d'été. J'étais partie comme tous les jours, tirer de l'eau au puit, une lourde capuche cachant mon visage défigurée des rayons du soleil, et c'est en revenant que je le vis. Un homme était rentré dans ma demeure et se tenait derrière la table ou j'avais l'habitude de couper mes légumes. Effrayée, le seau me glissa des mains pour se renverser sur les pierres et je commençais à paniquer, courant me cacher derrière le meuble en bois lourd. Mes mains devinrent moites, mon pouls s'accéléra, et je me sentie étouffée, comme si les murs se rapprochaient, comme si j'allais mourir, écrasée sous le poids de milliers de pierres me tombant dessus. Les larmes commencèrent à me monter aux yeux, quand sa voix résonna, forte et claire dans la pièce.

    - Je ne vous veux pas de mal.

    Pendant quelques minutes le silence fut le maître des lieux, j'étais assise, cachée dans un coin, recroquevillée sur moi même, la bile à mes lèvres et la peur me tordant le ventre. Si cela se répétait ? Si il venait pour me faire la même chose qu'ils ont faite à maman.. ? J'étais pétrifiée... Mais il ne bougea pas, ne sembla pas vouloir me faire de mal. Après quelques temps, je séchais mes yeux de mes doigt fins et me penchais discrètement pour l'apercevoir.

    Il portait une capuche grise, une belle tenue, avec de jolis habits en toile de coton sombre agrémentée de motifs en fil d'or, que les nobles appréciaient, et dans sa main se trouvait une canne en bois noir, ornée d'une tête de dragon en argent. Sous cette tenue, on pouvait deviner un corps ayant vécu nombres d'aventures, il n'avait pas une montagne de muscle, comme les hommes que j'avais déjà vu défiler pour l'empereur. C'était une silhouette dessinée par la force du travail et l'entraînement qui se tenait devant elle, une silhouette svelte et pourtant nerveuse, puissante. Et pourtant son visage était calme, comme si rien ne pouvait l'ébranler. Ses yeux me fixèrent un moment. Il n'y avait pas de moqueries dans ses yeux gris bleus, mais une certaine fascination, comme si je portais sur moi, non des cicatrices, mais des bijoux de grandes valeurs. Sa barbe lui donnait certainement quelques années de plus qu'il n'avait. Cette même barbe mettait en avant des pommettes qu'il avait déjà saillantes. C'était un homme inspirait le respect.

    L'intrus posa sa canne contre la table, le dragon me fixant de ses yeux transperçant en saphir. L'homme bougea, doucement, lentement, comme si il ne voulait pas m'effrayer, il sortit une dague et la posa sur la table. Cette dague, j'aurais pu la reconnaître entre mille. C'était la dague de mon père. Celle qu'ils lui avaient prise et l'avaient utilisé pour faire du mal à ma maman, puis à moi... Face à ce nouvel élément je me relevai progressivement, me cachant toujours derrière le meuble. Voyant que je ne bougeai pas l’intrus se déplaça jusque la porte pour sortir, avant de s'arrêter à ma hauteur, sa canne touchant le sol, bien qu'il ne s'appuya pas dessus.

    - Tout est réglé.


    Depuis ce jour, jamais je n'ai oublié le regard bleuté de cet homme, et ce qu'il a fait pour moi.


    Histoire


    Tout commence par l'histoire de Jeremiah et CaméliaValdoré, un couple de riches bourgeois dont la fortune provient du commerce transmis de génération en générations dans la famille. Les affaires sont bonnes et la noble famille n'a pas à s'inquiéter pour ses finances. C'est dans ce contexte favorable que le couple décide de fonder une famille. Après deux fausses couches naît alors un fils, Horace. Il sera le seule enfant qu'aura le couple, Camélia ayant contracté une étrange maladie deux ans après cette naissance. Malgré cela la famille demeure heureuse, et la vie suit son cours sans autre heurt significatif.

    Tout bascule un jour de printemps, alors que l'enfant vient de fêter ses dix ans. Depuis quelques années les commerces de la famille connaissent de grandes difficultés, allant de malchance en malchances, et Jeremiah s'est vu forcé de contracter un emprunt auprès d'un des prêteurs du comté. Malheur lui en prend, car lorsqu'il apprend le fin mot de l'histoire il est déjà trop tard : l'engrenage est déjà lancé. Le marchand a compris que toutes les mésaventures consécutives qui ont causé la ruine du commerce de sa famille (les marchandises disparues, volées ou faussées, les clients causant du grabuge en plein marché, les incendies d'entrepôts, etc.) ont en fait été instigués par l'un de leurs principaux concurrents. Et à présent, par leur faute, les dettes se sont accumulées. Tant et si bien qu'en ce jour de printemps, alors que la famille est à prendre son repas, tout leur est pris.

    Choqué au plus profond de son petit coeur d'enfant, Horace n'oubliera jamais ce jour où il a vu sa mère pleurer, et son père emmené de force par la garde. Sans autre cérémonie, un homme bien mis et à l'air austère décrète que pour rembourser ses dettes Jeremiah se voit condamné à un mois de détention ainsi que de la dépossession de tous ses biens. Une horde de garde s'est engouffré dans la demeure de la famille pour la vider dans un manège des plus grotesques. Le vacarme des meubles déplacés, les cris désespérés de son père, les gémissement terrifiés de sa mère, tout cela se grave à tout jamais dans sa mémoire. Et au milieu, lui, ce petit enfant naïf dont le monde vient d'être détruit. Traumatisé, Horace ne sera plus jamais comme avant.

    Un an s'est écoulé depuis ce funeste jour, et la famille n'est plus que l'ombre d'elle-même. Terminés les repas joyeux, terminés les jeux, terminés les belles histoires au coin du feu. Incapables de s'occuper de leur précieux enfants, les parents d'Horace le confient à des amis proches de son père, une famille bourgeoise de commerçants, elle aussi, mais plus modeste que ne l'étaient les Valdoré. La fierté de Jeremiah l'empêche néanmoins d'en demander plus à son ami de toujours, et le couple préfère tenter de se débrouiller seuls pour remonter la pente. Quoi qu'il arrive leur enfant est sauf, et c'est la seule chose qu'ils désirent.

    Voilà quatre années que Horace vit dans sa nouvelle "famille", et il s'est plutôt bien adapté. La vie est plutôt difficile pour lui, mais bien moins que pour ses parents. Différent du sage petit garçon qu'il était, il est devenu plus renfermé, plus maussade, et pourtant plus travailleur. Enfermé dans la modeste bibliothèque de sa famille d'accueil il passe son temps à lire de plus en plus de livres, s'intéressant principalement au commerce et au droits. C'est dans cette situation que le malheur frappe à nouveau. Avec sa mère d'abord, que la maladie emporte. Puis son père, devenu alcoolique depuis sa sortie des cachots et dépressif après la mort de son aimée, et qui a fini par se donner la mort. Alors déjà fragilisé, l'esprit de l'enfant s'est brisé.

    "Vengeance", Horace n'a plus que ce mot en tête. Se venger de qui ? De quoi ? Et Pourquoi ? Vengeance, pour son père et pour sa mère. Cette nuit qui l'a traumatisé est encore fraîche dans son esprit, cette nuit qui a tout changé. Comment pourrait-il l'oublier ? Il en fait encore des cauchemars. Tout est de leur faute, oui, tout. Le déclin de sa famille, la honte de son père, la mort de ses parents, et cette vie misérable qu'il mène depuis. Tout est de leur faute, à ceux qui ont trompé et trahi son père, à cet usurier pourri qui s'est associé aux concurrents de son père. Et sa vengeance, cela fait presque dix ans qu'il la prépare, qu'il la fignole, qu'il l'organise.

    Trouver les véritables coupables n'a pas été difficile : avant de se donner la mort son père lui avait laissé une lettre dans laquelle il lui expliquait tout. Cette lettre dont personne d'autre que lui n'a connaissance, Horace la garde précieusement, la relisant lors des moments de doute. Vengeance. Il a un plan, mais pas les moyens. Et les moyens il lui faut les trouver vite. Echappant à la vigilance de sa famille d'adoption le fils de marchand commence alors sa carrière dans le monde des ombres. Il commence d'abord par de petits larcins, mais bien vite ses méfaits augmentent en risques, en importance et en récompenses. Vols, arnaques, chantages, il ne recule devant rien tant qu'il y a de l'argent à la clé. Sauf peut-être devant le meurtre, bien qu'il n'hésite pas à y avoir recours si cela devient nécessaire. Et bien sûr, cet argent, il doit le blanchir. Rien de plus simple, pour lui qui à la lumière du jour est devenu l'associé de son père d'adoption. Si leur commerce n'était au départ pas très florissant, la contribution (légale et illégale) d'Horace le rendit bien plus fructueuse.

    C'est ainsi qu'à vingt ans Horace s'est fait une bonne réputation parmi la haute bourgeoisie d'Isedra, en tant que Marchand doué. Bien que son passé reste plutôt trouble pour la plupart d'entre eux, ses talents, sa beauté et la fortune qu'il a pu amasser en font un bon parti pour la noblesse moyenne. Aussi n'a-t-il aucune difficulté à séduire la fille unique d'un vénal marchand plus riche que lui, et qui voit un lui le digne successeur de ses commerces de luxe. De ce mariage naît un enfant, scellant pour toujours cet accord entre les deux hommes d'affaires.

    Oh, elle l'aime, il fait tout pour. Lui par contre, rien n'est moins sûr. Il prends pourtant soin d'elle et de son enfant, malgré que sa santé à elle se soit dégradée depuis la mise en couche, un mal héréditaire selon les médecins. Oh, attentionné, il le sera toujours, jusqu'à la toute fin, comme l'a été son père avec sa mère. Il aura au moins gardé cela de son ancienne vie. Il n'ont qu'un seul enfant, donc, à qui Horace compte bien tout transmettre. A commencer par la nom de son père : Jeremiah Valdoré.

    Vieux mais heureux, le riche marchand Isédran finit par mourir de sa belle mort six ans après la naissance de son petit-fils. Comme l'indique son testament tout ce qu'il possède revient alors à son beau-fils, faisant de lui l'un des marchands les plus riches d'Isédra. Les commerces qu'il possède sont nombreux et variés, mais Horace y est déjà familier pour en avoir développé plusieurs. Néanmoins le marchand à la réputation intègre ne l'est pourtant pas tant que cela, car au couvert de la nuit il n'a pas mis fin à ses activités crapuleuses. Loin de là, même, puisque son nom d'emprunt commence à se faire connaître dans la sphère criminelle.

    Jeremiah le second du nom a désormais dix-huit ans lorsque son père vient à mourir. Officiellement un accident de la route, cela est en réalité survenu alors qu'Horace a sauvé son fils au cours d'une fuite suite à un méfait qui a mal tourné. Car en effet, le marchand aux deux visages a entraîné son fils dans ses activités criminelles. En fait Horace a tout transmis à son fils, son seul héritier, et ce depuis son plus jeune âge : son savoir, ses commerces, ses secrets, son histoire, ses contacts, et plus que tout la lettre de Jeremiah Senior et avec elle sa vengeance. Il n'est donc pas insensé de dire que Jeremiah a été élevé dans le seul but de mener à terme le plan de son père.

    Vengeance, enfin. Trente-cinq ans après la chute de la famille Valdoré, Jeremiah pose la dernière pierre à la vengeance orchestrée par son père. Chaque engrenage huilé et réglé avec précision de cette machine vengeresse, chaque contact entretenu dans ce but, chaque action préparée dans l'ombre ou à la lumière du jour, toute cette pièce préparée depuis tant d'année enfin jouée non pas par son scénariste mais par le comédien que l'on a préparé dans ce but depuis toujours. Un petit mois seulement, ou un long mois de souffrance. En un mois la famille Rougemond, anciens concurrents et responsables de la chute des Valdoré, a tout perdu. Commerces, fortunes, et même leur manoir dans les hauts quartiers de Nera, Jeremiah leur a tout pris. Rachat de leurs commerces après les avoir fait dévaluer, falsification de documents et de leurs comptes, et pour finir l'expulsion de leur principale habitation avant de les faire mettre aux fers pour toutes les magouilles qu'ils ont fomenté et dont Horace avait recueilli les preuves.

    Une vengeance plus de trente ans, enfin menée à terme. Une dette de plus de trente ans soldée avec les intérêts. Seul dans sa demeure, assis dans le fauteuil de son bureau, le marchand jubile. Et quand l'euphorie redescend, l'ennui s'installe. Vingt-cinq ans que Jeremiah se prépare pour ce moment, vingt-cinq ans que toute sa vie est faite pour le préparer à cette vengeance. Et maintenant que cela est fait, il ne sait quoi faire. Le seul but qu'il se soit jamais donné a été atteint, et maintenant il se sent vide. Tout ce qu'il a appris, tout ce qu'il a fait jusqu'ici, tout n'a été fait que pour cette vengeance, et elle a été parfaite. Et la suite ? Il relis la lettre de son grand père ainsi que le carnet de son père, puis soupire. La suite... Il n'y a jamais eu de suite. Sa vengeance accomplie il est maintenant libre, mais libre de quoi ? Machinalement il feuillette les documents éparpillés sur son bureau, et là une idée lui vient.

    Il tient en main l'un des livres de comptes de l'usurier qui s'en est pris à sa famille. Cet homme avait consciencieusement tout noté : les noms des victimes, le montant de leurs dettes, tout ce qui leur a été pris et à qui leurs objets précieux ont étés vendu. L'homme aux deux visages avait récupéré tout ces documents lorsqu'il avait rendu visite à l'usurier, et qu'il lui avait ôté la vie après qu'il ait vu son visage. Après la vengeance, la justice. Tel est son nouveau but : toutes ces victimes marquées dans ce carnet, il va les retrouver et leur rendre ce que ces pourritures leurs ont volés. Ce sera sa justice, sa rédemption pour le mal qu'ils ont pu faire, lui et son père avant lui, dans leur quête de vengeance. Et ainsi, les compétences qu'il a développées toutes ces années lui seront toujours utiles.


    Compétences


  • Administration - Commerce - Niveau 3

  • Arme blanche - Canne-épée - Niveau 2

  • Sport - Escalade - Niveau 2

  • Étiquette - Niveau 1

  • Discrétion - Niveau 2

  • Larcin - Crochetage - Niveau 1



  • Derrière l'écran



    Êtes-vous majeur ? Oui
    Avez-vous lu le règlement ? Validé
    Comment-êtes vous arrivé sur Les Serments d'Eurate ? Par caravane expresse ! En réalité je l'ai trouvé parce que... ¡ Soy fabuloso !
    Une suggestion ?  Wouah, quelle vue, je pourrai très vite y prendre goût... Une seconde, ouais, ça y est, j'y ai pris goût... Les gars, je veux un château !
    Ce personnage est-il un DC ? Si oui, de qui ?  Oui, del hombre lo màs fabuloso de Eurate




    Re: Jeremiah Valdoré ─ Jeu 9 Fév - 9:29
    Anonymous
      Invité
      Invité
      Ah enfin! Soit le bienvenu parmi nous Wink
      Re: Jeremiah Valdoré ─ Jeu 9 Fév - 9:37
      Courage de Nera
        Courage de Nera
        Duc
        Bienvenue Eugène !

        Pas de château pour toi, mais va savoir si Raiponse est pas dans le coin. XD
        Nous allons nous occuper de toi. ^^
        Re: Jeremiah Valdoré ─ Jeu 9 Fév - 9:37
        Alastor de Boisnoir
          Alastor de Boisnoir
          Bonjour à toi et bienvenue !
          J'adore l'histoire de ton personnage ! j'espère qu'on aura l'occasion de jouer ensemble si tu passais par le Duché de Volg cheers
          Re: Jeremiah Valdoré ─ Jeu 9 Fév - 9:38
          Anonymous
            Invité
            Invité
            Ma qué formidable ! Cet homme est fabuleux ! Je l'aime ! Qu'on lui donne une couronne ! Very Happy cheers
            Re: Jeremiah Valdoré ─ Jeu 9 Fév - 9:45
            Anonymous
              Invité
              Invité
              j'aime beaucoup l'histoire et je trouve les descriptions tellement bien faites... Surtout celle avec sa maman, j'aime beaucoup! Au plaisir de pouvoir partager un jeu avec toi Very Happy (Avec Abi ou Adélaïde)
              Re: Jeremiah Valdoré ─ Jeu 9 Fév - 22:05
              Chroniqueur Impérial
                Chroniqueur Impérial
                Me revoilà dans mon costume de livre pour m'occuper de toi ! Smile

                J'ai trouvé ta présentation sympa, originale dans sa construction, mais aussi très agréable à lire ! J'aime beaucoup ! Et un petit plus pour la conclusion, ou tu ne te limites pas à un personnage vengeur mais justement à ce qui vient après. =)

                Je pourrais chipoter, en disant par exemple qu'il est peu probable qu'un petit commerçant ait une bibliothème, mais je préfère te valider ! =D Et comme je suis gentille comme tout tu as droit au petit récapitulatif ^^

                ■ Le Carnet D'aventure
                ■ La Demande de RP
                ■ Les Les Demandes De Seigneurs/Vassaux
                ■ Les Correspondances.

                Amuse toi bien Wink
                Re: Jeremiah Valdoré ─
                  Contenu sponsorisé