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Tancrède de Saint-Gilles [Terminé]
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Tancrède de Saint-Gilles [Terminé] ─ Jeu 2 Mar - 2:09
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    Tancrède de Saint-Gilles
    « Aucun mal ne souillera les fiefs qui m'ont été confiés. Quand l'oriflamme est levée, je partirai et combattrai au nom de mon lige et des Dieux. Ce qui est sacrement, je vénérerai. Ce qui est sublime, je défendrai. Ce qui est dangereux, je détruirai. Ma rage divine ne doit avoir aucunes limites. » - Serment du chevalier











    Registre

    Son âge : 23 ans
    Lieu d'origine : Principauté de Sinople
    Son rang : Sang-bleu
    Son métier : Chevalier errant

    Son caractère

    Pur produit de « l'aristocratie champêtre », Tancrède vit selon un idéal chevaleresque bien particulier. Noble jusqu'au bout des ongles, il est bercé depuis sa plus tendre enfance par les chansons de gestes et les récits de héros épiques, qu'il est censé imiter. Saint-Gilles, dont il tient le nom, est celui qu'il cherche le plus désespérément à émuler, au point d'avoir des hallucinations de lui lorsqu'il a un peu trop bu ou consommé des champignons particuliers. Il vit selon un étrange code d'honneur, celui d'un chevalier qui lutte pour les gens en danger, pour défendre la veuve et l'orphelin, les édifices religieux, et pour combattre les démons et les barbares impies qui violent et tuent. Cela fait de lui un homme honorable, poli, courtois...

    Mais également un homme sacrément naïf et manipulable.

    Si Tancrède se rêve en futur héros éponyme, il doit se confronter à la dure réalité de son existence. Il n'a aucun fief, aucun moyen de subsistance, le forçant à multiplier les tournois pour tenter de gagner des récompenses et des rançons. Il laisse bien souvent une mauvaise impression sur les gens, ce qui est dû par son comportement de connard plutôt hautain, et surtout par la méfiance que la plupart du peuple a pour un chevalier qui n'a ni suzerain, ni conroi de camarades. De plus, même s'il rêve d'imiter des grands bien mieux que lui, Tancrède n'est qu'un nain sur les épaules de géants ; Il est très loin d'être une personne parfaitement honorable, n'hésitant pas à faire de menus larcins, ou à courtiser des femmes simplement pour les prendre puis filer sans un « au revoir », laissant une petite traînée de bâtards dans son sillage. C'est un homme avec des problèmes relationnels. Étonnamment assez timide, surtout lorsqu'il est entouré de ses pairs, il n'a aucun véritable lien d'affection, si ce n'est pour son destrier, « Räzell », et son écuyer bedonnant et légèrement faible mentalement, Guy, que l'on croise toujours monté sur une ânesse baptisée Élise que Räzell s'amuse à saillir copieusement.

    Au final, Tancrède est juste un gamin qui fait sa crise d'ado sur le tard. Excepté que c'est un ado avec une armure et une épée. Il rêve d'un jour trouver un seigneur qui voudra bien l'accepter et une jolie dame avec qui il pourra avoir des enfants. Mais la réalité le rattrape toujours, et à chaque fois qu'il tente de s'installer quelque part, c'est pour s'en aller sitôt de basses œuvres accomplies, lors de quelque guerre privée ou razzia face à des barbares. En réalité, malgré tous les bons airs qu'il se donne, malgré son accent hautain, malgré son tabar aux couleurs d'une maison noble, il faut se rendre à la réalité : Il ne vaut pas mieux qu'un routier qui accepterait de se battre pour quelques sous.

    Son physique

    Né de l'eugénisme d'une famille noble, Tancrède a le profil du parfait chevalier. Haut de un mètre quatre-vingt-trois, bien bâti, avec des épaules larges et des cuisses étroites et des jambes légèrement arquées (La faute à une vie menée à cheval), il a une tête bien typique d'aristocrate, le nez fin, les oreilles collées, la mâchoire et la face toujours bien rasées, les cheveux très noirs et courts, les yeux marrons qui gardent un regard perçant, toujours plein de condescendance, surtout envers les roturiers. Il a l'air charmant, surtout lorsqu'on est une gueuse qui crèche dans une chaumière et qui fantasme sur les preux chevaliers.

    Sauf que Tancrède n'est en réalité pas tellement un preux chevalier.

    Pauvre, crève-la-faim, toujours sur les routes, c'est un homme marqué par des convalescences récentes et par un manque d'alimentation chronique. Armuré dans une cotte de maille rapiécée et endommagée, debout sur un destrier fatigué et usé, on voit généralement son visage caché derrière un heaume éraflé et qui commence à rouiller dans un coin. Et lorsqu'il le retire, c'est uniquement pour voir un homme blême, aux joues creuses. Il a des problèmes pour bander, il lui arrive souvent d'avoir de courtes absences, il sent fort comme un putois... Bref, pas le portrait qu'on se fait de la fleur de la chevalerie.

    Il reste qu'il lui arrive, lorsqu'un seigneur ou un prêtre lui fait le cadeau de l'hospitalité, qu'il peut avoir l'air beaucoup moins hirsute et ridicule lorsqu'il est lavé et a eut une véritable nuit de sommeil. Mais il n'a que quelques haillons comme vêtements civils, couverts de boue et de terre. De toute façon, s'il cherchera à faire impression, c'est uniquement pour deux raisons : Mendier (Ou trouver du travail, si on utilise des termes politiquement corrects), ou trousser une fille.

    Son histoire

    Gilles d'Esparron était l'exemple même du chevalier chevaleresque, né à une époque où l'Empire n'était pas parfaitement formé et où les terres ne manquaient pas d'hommes cruels qui martyrisaient leur populace. Sa vie fut légendaire, celle d'un guerrier sans peur et sans reproches, capable de vaincre n'importe qui à la lance et à l'épée. Grand comte, il fut adoubé, puis il se tailla des fiefs, et enfin il mourut en martyr lors d'une grande charge face à une horde de païens, éviscéré sous leurs coups. Pour avoir mené une vie d'ascète, loin de la luxure ou de la richesse, et pour avoir apporté le message divin des trois (Par la force), il fut canonisé, et devint « Saint-Gilles ».

    Tancrède n'a pas la moindre goutte de sang de cet illustre personnage dans ses veines. Ce serait trop beau. Non, non ça n'a rien à voir.

    Au fond du Royaume de Sinople, à son extrême frontière, un village s'installa, parmi ces terres libérées par les guerriers fidèles au dogme. Ils décidèrent de prendre le nom de leur héros, « Saint-Gilles », et commencèrent à cultiver la terre dans leur misérable tas de chaumières. Puis vint la féodalité. Les prêtres qui se taillent des terres, les seigneurs qui font du racket de protection en échange de lourds impôts, et sans oublier les exécutants de ces barons mafieux, mais qui, pour se donner un semblant de légitimité et pour empêcher leur classe d'abuser de leurs pouvoirs, s'est dotée de tas de règles de courtoisie et d'honneur. La chevalerie.

    Une maison forte fut construite à Saint-Gilles. Parler de château serait démentiel. Il n'y avait ni remparts extravagants, ni séparation de cours, ni d'immenses courtines dignes des citadelles des grands ducs. Non. Juste une espèce de bâtisse en pierre, comme une grande ferme de riche, mais tout en pierre et avec une tour pas plus grande qu'un moulin qui trône au milieu. La famille de Saint-Gilles fut ainsi née, au départ d'un simple mercenaire qui passa la cérémonie de l'adoubement puis de l'hommage. Des chevaliers gueux, qui protègent d'autres gueux, le tout qui se répète dans des générations longues, longues, et peu passionnantes. De temps à autre, le sire de Saint-Gilles sera appelé à l'ost, et alors il prendra armes et valets pour suivre son seigneur. Mais sinon, il n'y a rien à faire ici, sinon, patrouiller les champs, faire quelque fête paysanne, et aller chasser dans la forêt défendue jalousement et où les braconniers sont pendus à une branche.

    C'est dans cet univers que naquit Tancrède. Et son enfance, et son adolescence, furent aussi complètement vides d'originalité ou d'intérêt. Son père était le « châtelain » de Saint-Gilles, et sa mère, l'un des nombreuses sœurs du suzerain de son père : Le baron Raymond IV de Longevilliers.
    La famille de Longevilliers, c'était un peu comme les Saint-Gilles, mais en plus riche. Beaucoup plus gros château, plus gros domaine, et une petite douzaine de vassaux comme les Saint-Gilles à surveiller et à diriger. Voilà trente générations qu'il tenaient leur roc entouré d'une douve et perché sur une colline, et trente générations que personne n'était parvenu à leur voler leur château ; Notamment parce que leur château ne valait pas la peine d'une guerre. Très fidèles à leur comte, qui était lui-même très fidèle au monarque de Sinope, ni félonie, ni vengeance privée ne vint entacher les relations de cette famille avec le reste du monde. Ils étaient des gueux, des gueux en armure, tellement peu ambitieux que jamais ils n'auraient pu imaginer plus que leur roc entouré d'eau. Ils ne voyaient pas plus loin que le clocher de leur chapelle.
    C'est chez son oncle maternel, donc, que Tancrède fut envoyé à l'âge de 8 ans, pour servir de page, c'est-à-dire de palefrenier qui apprend à lire et à écrire auprès d'un prêtre, qui s'occupe de l'écurie du maître, et qui apprend à se battre avec des épées en bois. À l'âge de 14 ans, il devient écuyer, et maintenant, voilà qu'il a de bien plus grande responsabilités : Habiller son maître, lui préparer ses armes, et le suivre lorsqu'il quitte le castel. Quelques événements marquent la vie de sire Tancrède, lors de voyages ou de pèlerinages que Raymond de Longevilliers entreprend, jamais très loin d'ailleurs.

    Mais bien sûr, toute cette histoire n'aurait pas d'intérêt si on ne parlait pas un peu de la vie personnelle de Tancrède. En l'occurrence, il mène une vie de fils de noble banale. Il est copain avec un jeune paysan et un fils de servante qui résident aussi au castel. Il ne voit pas trop souvent ses parents, quelques jours chaque mois. Il prie quotidiennement. Assez timide, il passe ses journées dans ses bouquins, et lorsqu'il fait quelques conneries avec ses copains (Voler le coq que le cuisinier voulait préparer, faire peur aux poules, jouer avec le chiot que le veneur veut élever en bête sanguinaire...), c'est toujours pour être sévèrement réprimandé, à l'aide de fessées et de coups de bâton. De quoi forger le caractère.
    Mais c'est surtout une femme -Comme d'habitude, les femmes ont ce talent de tout ruiner- qui va changer la vie de Tancrède et le dévier de son destin tout réservé, le destin qui était le même que son père, et de son grand-père, et de son arrière-grand-père avant lui. Cette femme, c'est la fille de Raymond. Une fille de deux ans son aîné, une demoiselle qui se nommait Blanche.
    Blanche avait tout l'air de la gentille jeune fille. Polie, souriante, parlant peu, faisant des révérences à tout le monde, elle parlait bien et suivait assidûment les études de frère Guérin. C'était différent avec les enfants de son âge, comme Tancrède. Sitôt que les adultes avaient le dos tourné, voilà qu'elle se mettait à utiliser son intelligence et son talent de manipulation pour pousser les gamins à faire des conneries. D'ailleurs, voler le coq du cuisinier ou caresser le chiot était toujours son idée. Excepté que quand elle se faisait prendre, elle arrivait toujours à faire l'innocente et à rejeter la faute sur les autres. Et on la pardonnait quand même. Parce qu'elle était comme ça, Blanche, on lui donnerait les trois bons Dieux sans confession.

    Au départ quand on est gamin, on fait juste des conneries de gamins. Mais avec le temps, vient la puberté, les hormones, et toutes les conneries qui transforment les chérubins en débiles mentaux assoiffés d'être débiles et de toucher la zone entre leurs jambes. Et ça, frère Guérin, moine chauve et grassouillet, gentil mais sévère, l'avait très vite remarqué et mit en garde le baron Raymond.
    Pourtant Raymond aimait bien ce jeune garçon. En fait, Tancrède lui avait sauvé la vie, une fois, alors que le futur chevalier avait seize ans. Alors qu'il était à cheval, deux loups étaient arrivés, et son cheval prit peur et s'enfuit en désarçonnant le baron qui avait un peu trop bu. C'est Tancrède, poussé par le zèle et les couilles grossies de l'adolescence, qui se jeta en avant pour les faire fuir.

    C'est aussi pour ça que, à dix-huit-ans, Tancrède fut adoubé chevalier, et il prêta hommage au baron de Longevilliers, avec son équipement tout frais payés par le vieux baron : Cotte de maille complète, heaume, épée, dague, arbalète avec ses carreaux, éperons, tabar, destriers caparaçonnés... Tout cet attirail coûte cher, surtout pour la noblesse champêtre, celle qui n'a pas le luxe de tenir des centaines de péages et de lever des impôts exceptionnels partout. Mais le baron adorait assez son jeune garçon pour lui confier tout ça.

    Bon. Faisons court, pour ne pas vous ennuyer avec ces histoires. Vous voyez bien la scène qui arrive. Tancrède veut épouser Blanche, mais si Raymond a accepté de donner un équipement très coûteux à Tancrède, c'est parce qu'il pensait que c'était une juste réparation pour le chevalier, afin qu'il se casse et laisse sa fille tranquille, Guérin l'ayant avertit. Nous avons dis que les Longevilliers, en trente générations, n'avaient eut aucune ambition. Et bien, pour la première fois, un Longevilliers avait décidé de tenter un peu quelque chose, pour s'extraire de son château humide au milieu de chevaliers crottés et de paysans consanguins. Sa fille était son joyaux, un diamant au milieu du fumier, rayonnant par sa beauté et son talent pour manipuler les gens. Il voulait la marier au fils du comte à qui il prêtait hommage, afin de servir auprès de son conseil et d'enfin devenir un homme respecté et intéressant. Le mariage fut prononcé. Et Blanche vit son futur époux...
    ...Un homme détestable sous tous les traits. Homosexuel, il passait ses journées à s'enculer joyeusement avec d'autres hommes, ne faisant que le strict minimum, et sous assistance virile, pour engrosser sa prétendue. En dehors de ça, il était violent, en proie à des accès de colère et de rage.
    Du moins, c'est le portrait que Blanche fit de son époux à Tancrède, avait qui elle correspondait secrètement. À qui elle donnait sa vertu en secret. Qu'elle manipulait, doucement, assez pour que Tancrède se mette à la suivre partout tel un petit chien, jusqu'à être accepté comme garde du corps auprès du fils du comte. Pour que ce fils de comte accepte, d'ailleurs, Blanche avait fait le portrait de Tancrède comme un homme homosexuel et dévergondé, mais elle est comme ça Blanche, on lui donnerait les bons Dieux, et cætera.

    Lorsque Blanche arriva dans la chambre de Tancrède, le corps couvert de bleus et de lacérations, et qu'elle se mit à pleurer, Tancrède ne réfléchit pas. Il ne se demanda pas comment c'était suspect que ces blessures ressemblaient à de l'auto-mutilation, comme frère Guérin aimait faire pour expier ses fautes. Il ne réfléchit à rien. Il sortit son épée et alla défier le noble en duel.
    Un duel sorti tout droit d'une tragédie. Sous la pluie, devant la mer, sur une plage de galets. Un combat âpre. Et à l'issue fatale. Tancrède arracha la gorge du noble, devant quelques témoins.
    Lorsque son père le comte, apprit que son fils aîné avait été tué aussi bêtement, il poussa un hurlement de colère et de tristesse si fort que les paysans en bas du donjon l'entendirent. Il voulait la tête de Tancrède. Il voulait lui faire payer de la pire des manières. Et Raymond de Longevilliers aussi, voulait lui faire payer, très fort ; Il se rangea vite du côté de son suzerain, et abandonna le garçon qui lui avait jadis sauvé la vie, pour l'amener devant sa justice de suzerain.
    Pauvre Blanche ! Oh oui, elle pleura. Des larmes de crocodile. En réalité, un homosexuel violent était compliqué à gérer. Beaucoup moins le second fils du comte, joufflu, timide, et bigleux. Oh, lui elle parvenait à bien le charmer comme il faut.
    Et elle éprouvait de l'affection pour Tancrède. « Amour » serait peut-être exagéré. Mais elle éprouva assez d'affection pour plaider le cas et la cause de son chevalier auprès du nouveau mari.

    Aussi Tancrède ne fut pas tué. Il fut banni. On lui arracha ses éperons d'or, et on lui interdit à jamais de revenir sur ses terres. Un beau matin, à l'âge de vingt-et-un ans, le chevalier monta sur son cheval, accompagné d'un paysan avec qui il s'était lié d'amitié, et ils partirent tous les deux au-delà de la herse du château comtal. Blanche se contenta de lui faire un baiser sur son casque en guise d'adieu.

    Voilà deux ans que Tancrède est un chevalier errant. Au départ, il vivait bien, allant bénévolement de village en village pour aider les gens et tenter de faire pénitence pour le meurtre commis aux yeux des Trois.
    Mais aujourd'hui il n'est plus rien qu'un routier qui marche sur les routes, affamé et désespéré de trouver un but dans sa minable existence.

    Compétences

    Plus d'information ICI
    ■ Intimidation - Niveau 1

    ■ Survie - Niveau 1
    ■ Persuasion - Niveau 1
    ■ Sport (Équitation) - Niveau 2
    Armes blanche (Épée) - Niveau 3
    Armes blanche (Lance) - Niveau 2
    Animaux (Équidés) - Niveau 2

    ■ Érudition (Poliorcétique) - Niveau 1
    Derrière l'écran

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    Code validé

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    Re: Tancrède de Saint-Gilles [Terminé] ─ Jeu 2 Mar - 6:42
    Anonymous
      Invité
      Invité
      Bienvenue cheers
      Re: Tancrède de Saint-Gilles [Terminé] ─ Jeu 2 Mar - 11:03
      Anonymous
        Invité
        Invité
        Hey, bienvenue à toi, noble chevalier !
        Re: Tancrède de Saint-Gilles [Terminé] ─ Jeu 2 Mar - 13:00
        Courage de Nera
          Courage de Nera
          Duc
          Et bien bienvenue une nouvelle fois.
          Je suis impressionnée la fiche est déjà prête !
          Nous allons faire au plus vite pour te valider en attendant n'hésite pas à venir sur la chatbox.

          Amicalement Courage.
          Re: Tancrède de Saint-Gilles [Terminé] ─ Jeu 2 Mar - 19:41
          Chroniqueur Impérial
            Chroniqueur Impérial
            Validation
            Te voila validé, tu peux dès à présent te créer un carnet d'aventure, faire une demande de RP ainsi que de poster un sujet dans les demandes de seigneurs/vassaux et les correspondances.


            N'oublie pas de voter pour nous aider à promouvoir le forum en échange de récompenses et surtout, amuse toi bien !
            Re: Tancrède de Saint-Gilles [Terminé] ─
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